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Black Flower présente « Magma »

Le groupe de cinq musiciens de jazz hybride Black Flower s'apprête à sortir son nouvel album le 28 janvier 2022 chez Sdban Ultra / L’Autre Distribution. « O Fogo » en est le premier aperçu. Piloté par le saxophoniste/ flutiste/ compositeur bruxellois Nathan Daems (Echoes of Zoo, Dijf Sanders), le quintet est un mélange vibrant et hypnotique d'éthio jazz, d'afrobeat, de psychédélisme et d'influences orientales, inspiré par Mulatu Astatke, Fela Kuti et diverses traditions musicales occidentales. Black Flower est un groupe au sommet de son pouvoir créatif. Après avoir reçu des éloges pour l'album "Future Flora" sorti en 2019, de Mojo, Songlines, Gilles Peterson de BBC Radio 6 Music, BBC Radio 3's Music Planet, Worldwide FM et Jazz FM, entre autres, l'album à venir "Magma" voit Black Flower adopter de nouveaux sons de synthé et d'orgue grâce à la dernière recrue du groupe, Karel Cuelenaere. Son influence est perceptible dès le début de l'album : il ajoute une touche tourbillonnante et malicieuse au titre "Magma", qui ouvre l'album. En outre, les rythmes de batterie traînants et le morceau "O Fogo", propulsé par une flûte, sont riches en texture et en fluidité. Les rythmes entraînants et les mélodies d'influence orientale servent de source de plaisir qui, comme le magma, devient réel et solide lorsqu'il remonte à la surface. C'est la métaphore parfaite pour le processus de création de cet album. La pulsation et la transe de " Deep Dive Down " poursuivent ce processus joyeux, tandis que l'auteur-compositeur Meskerem Mees (lauréate du Montreux Jazz Talent Award 2021) ajoute sa voix claire comme de l'eau de source au céleste " Morning in the Jungle ". Avec le très fiable Frederik Segers à la production et le virtuose visuel londonien Raimund Wong (Total Refreshment Centre) à la conception graphique, tout cela contribue à l'identité psychédélique et exploratoire du groupe et constitue un élément clé qui a aidé "Magma" à remonter des profondeurs à la surface. Un processus créatif solidifié en vinyle, tout comme le magma en roche. Les autres musiciens et acolytes spirituels du groupe sont Jon Birdsong (dEUS, Beck, Calexico) au cornet à piston, Simon Segers (Absynthe Minded, De Beren Gieren, MDCIII) à la batterie, Filip Vandebril (Lady Linn, The Valerie Solanas) à la basse et Karel Cuelenaere (John Ghost) au clavier.
29 novembre 2021

Diana H.P. présente « Fazer e cantar »

Diana H.P. révèlera son troisième album "Fazer e cantar" à l'occasion de sa sortie le 3 décembre 2021 chez Z Production / InOuïe Distribution. Ce nouvel opus sera présenté sur la scène du Studio de L'Ermitage le mardi 1er février 2022 à 20h30, lors d'un concert de lancement exceptionnel. "Fazer e Cantar", le troisième album de la chanteuse et compositrice brésilienne Diana H.P. s’inspire de l’énergie progressiste des années 60 à 80 pour proposer un futur musical groovy, sensuel et spirituel. A ses côtés les brillants musiciens et producteurs JazzBastards forment l’équipage idéal pour cette exploration rétro futuriste. Diana H.P. est l’héritière d’une révolution qui se produisit aux débuts des années 70 à Belo Horizonte, capitale du Minas Gerais, état du sud-est du Brésil. Son nom de code était Clube da Esquina, (le Club du Coin), titre d’une chanson et d’un album historique de Milton Nascimento, également du à l’osmose créative qui régnait au sein du groupe d’artistes éclairés qui l’entourait. Les musiciens et poètes, membres du Clube da Esquina conjuguaient leurs virtuosités en s’inspirant du génie aventurier des réformateurs du jazz, des inventions du rock psychédélique ou des Beatles période Double Blanc, comme des traditions musicales régionales et nationales. L’album eut un impact revendiqué par de grands musiciens internationaux tels Wayne Shorter, Herbie Hancock ou encore Earth Wind & Fire et ouvrit au Brésil une fenêtre ensoleillée vers un futur d’audaces et de liberté, alors que le pays était englué dans le carcan de la dictature militaire. Autour de Diana et Mathias Allamane les autres JazzBastards donnent le meilleur d’eux- mêmes : Vincent Taurelle est aux claviers et assume la production avec le batteur Vincent Taeger. Ludovic Bruni passe saluer avec sa guitare sur Balanço qui justement parle d’amitiés. Il y a aussi l’hommage paternel au pionnier russe de la conquête de l’espace Gagarine de Yuri Popoff et Heitor Branquinho, Brincadeira (Un jeu) jeux de mots entre séduction et illusion, en français Le Jour affirme que la vie est belle et qu’il faut s’en saisir. Le poète philosophe Márcio Borges a cette fois apporté quatre textes : Fazer e Cantar (Faire et Chanter) donne son nom à l’album et résume la démarche de vie de Diana : « Faire au mieux en chantant avec amour et plaisir », Sonho (Rêver) milite pour le rêve, Delikatessen incite à faire confiance en la force de l’amour et Mais um sol (Encore un soleil) interroge le ciel et ouvre la conscience sur l’immensité qui nous entoure : (Nous sommes juste un autre soleil dans la poussière des points de lumière). Une touche de magie britannique est ensuite apportée par le mixage précis de Dave McDonald, l’ingénieur du son des albums mythiques de Portishead. Avec "Fazer e Cantar", Diana a trouvé sa place et l’affirme. Devenue Diana H.P., elle est une version amplifiée d’elle même, fidèle aux valeurs de son passé, mais prête à relever les défis du présent pour construire un avenir plus sain et joyeux. Comme les artisans du Clube da Esquina en leur temps, Diana H.P. mise sur l’imaginaire pour surpasser les dangers de l’époque. Faire et Chanter, car si l’on cesse de rêver la vie se rétrécit et Diana H.P. inlassablement chante et vous fera chanter.
19 novembre 2021

Kyriakos Kalaitzidis et l’Ensemble en Chordais à La Philarmonie de Paris

Kyriakos Kalaitzdis et l'Ensemble En Chordais présenteront leur dernier album "Exil - Exile"  le samedi 11 décembre 2021 à 20h30 sur la scène de la Grande salle Pierre Boulez de La Philarmonie de Paris. L’éminent musicien et compositeur grec Kyriakos Kalaitzidis mobilise son ensemble En Chordais et une dizaine d’autres interprètes pour donner forme à "Exil - Exile", un ample concert sur le motif de l’exil mêlant compositions originales et airs traditionnels. Musicien renommé, virtuose du oud, Kyriakos Kalaitzidis œuvre aussi comme enseignant/chercheur dans le champ des musiques de Méditerranée. En outre, il assure la direction artistique de l’ensemble En Chordais qui s’attache à promouvoir la musique grecque en mettant l’accent sur toutes ses influences extérieures. Issu d’une famille qui a connu l’exil, il a conçu un ambitieux projet autour de ce thème, si sensible dans le monde actuel... Ayant engendré un très beau disque (Exil-Exile, sorti en 2019), le projet prend encore plus d’ampleur sur scène avec un concert qui réunit En Chordais et une dizaine d’autres interprètes, dont la chanteuse Maria Farantouri. S’y mêlent compositions originales et airs traditionnels au fil d’une traversée aussi bigarrée que captivante. Distribution : Ensemble En Chordais Kyriakos Petras, violon, lyre de Constantinople Kyriakos Kalaitzidis, oud, chant, direction artistique Thanasis Koulentianos, qanun Petros Papageorgiou, toumpeleki, daf, bendir Yiorgos Kokkinakís, piano Nikos Andrikos, chant Alain Weber, scénographe Avec la participation de : Maria Farantoúri, chant Kostas Siamidis, lyra de Pontos Achilleas Vasiliadis, chant Christina Koza, chant Pavlos Pafranidis, bouzouki Stavros Krommydas, guitare Stavros Pazaretzis, clarinette Mathilde Gomas, viole de gambe Yiannis Karanikolas, danse
29 octobre 2021

« Lamenta », le nouvel album de Xanthoula Dakovanou

Xanthoula Dakovabou dévoilera son nouvel album "Lamenta" à l'occasion de sa sortie en France le 26 novembre 2021 chez Quart de Lune / UVM Distribution. Sous la direction artistique musicale de la grecque Xanthoula Dakovanou, chanteuse principale de "Lamenta", la création de cet album s'inspire des musiques traditionnelles d'Epire en Grèce, cheminant des formes musicales traditionnelles jusqu’à la World et le Jazz. Mis en scène par Koen Augustijnen et Rosalba Torres Guerrero (Siamese Cie), chorégraphes belges de danse contemporaine de réputation internationale, "Lamenta" sera présenté les lundi 13 et mardi 14 décembre 2021 à 20h00 sur la scène de La Grande Halle de La Villette (La Nef), après avoir été acclamé par la critique lors du Festival d'Avignon 2021.  La musique s'inspire plus particulièrement de la tradition des "Miroloi", chants de lamentation grecs reliés à la perte et au deuil. D'abord restitués dans leur forme originale, les miroloï glissent par la suite vers des formes plus contemporaines, sous influence post-rock.  Sur ce projet ont collaboré seize musiciens d'excellence dont le jazzman français Magic Malik, mondialement reconnu, mais aussi Nikos Filippidis, à l'heure actuelle un des meilleur clarinettistes traditionnels grecs. Ont également collaboré des musiciens reconnus de la scène traditionnelle grecque. Le résultat est unique : profond, plaintatif mais aussi extatique, c'est une connexion spirituelle entre la vie d'ici et l’au-delà.
20 octobre 2021

Octantrion présente « II »

Octantrion révèlera son nouvel album "II" à l'occasion de sa sortie le 22 octobre 2021 chez Quart de Lune / UVM Distribution. Le duo composé de Gaëdic Chambrier (cistre basse nordique, mandoloncelle, guitare-harpe) et Éléonore Billy (nyckelharpa suédois, hardingfele norvégien) présentera ce nouvel opus sur la scène du Studio de L'Ermitage le jeudi 3 février 2022, ainsi qu'à l'occasion d'une tournée de concerts à travers la France : * 15 octobre : Festival Euroclassic, Achen (57) // feat. Hannah Tolf * 20 et 21 octobre : Espace Tonkin, Villeurbanne (69) * 22, 23 et 24 octobre : les Journandises, Journans (01) * 31 octobre : 1ère partie de Cécile Corbel, Grésy-sur-Aix (73) * 25 et 26 novembre : Concert à l’Hirondelle, Paris (6e) * 28 janvier : Concert à l’ECFM, Canteleu (76) // en 1re partie de Josef Van Wissem * 5 février : Salle du Cèdre, Bazemont (78) Octantrion et l'album II L’histoire discographique de Octantrion a débuté en 2014 avec l’album éponyme. Ce premier opus venait graver dans le marbre des morceaux instrumentaux bâtis pour et par la scène. Devant le succès de cet album auto-produit, qui s’est hissé un temps dans le classement des meilleures ventes après, entre autres, le passage du groupe sur France 2 (La boîte à musique de Jean-François Zygel en juillet 2015), une édition remasterisée et augmentée de 4 nouveaux morceaux baptisée 8 est sortie en 2018 chez Quart de lune/UVM. L’album II (Quart de lune/UVM) a été pensé de manière très différente. La thématique du corbeau, comme symbole des cultures païennes nordiques/vikings, a été choisie et sert de fil rouge à ce disque qui comprend 15 morceaux, 10 compositions originales ainsi que 5 traditionnels suédois et islandais réarrangés. Alors que l’album Octantrion et sa déclinaison 8 étaient des épures faisant la part belle aux timbres des extraordinaires instruments joués par Eléonore Billy (nyckelharpa suédois, hardingfele norvégien) et Gaëdic Chambrier (cistre basse nordique, mandoloncelle, guitare-harpe), tout juste soutenus par la contrebasse de Jean-Philippe Viret (lauréat d‘une victoire de la musique en 2011 et d’une victoire du Jazz en 2020) ainsi que par quelques percussions, « II » est servi par des orchestrations beaucoup plus denses, l’intervention de 6 musiciens additionnels ainsi que par l’apparition de la voix et du chant sur 4 morceaux. Après avoir été adoubés par de grands musiciens scandinaves et être devenus la référence française des musiques d’inspiration nordique avec Octantrion/8, l’album II a été composé et réalisé dans une optique plus accessible au grand public. Les mélodies trottent dans la tête, les morceaux se dansent et se fredonnent emmenant l’auditeur en voyage vers un Nord rêvé, terre d’évasion et de légendes.
7 octobre 2021

Pierre Bensusan présente « Azwan »

Pierre Bensusan révèlera son 15e album "Azwan" à l'occasion de sa sortie en France le 12 novembre 2021 chez Le Triton / L'Autre Distribution. L'artiste présentera ce nouvel opus  lors d'un concert de lancement exceptionnel sur la scène du Triton (Les Lilas, 93), le samedi 22 janvier 2022, et d'une tournée de concerts courant 2022 à travers la France. La pandémie mondiale de COVID-19 qui a pris l'humanité au piège souligne l'unité de notre monde et notre connectivité imbriquée. C'est le message de Bensusan et la signification d’« Azwan », le quinzième album de l'artiste primé (qui sortira le 12/11/2021 en France). Le guitariste-chanteur franco-algérien a déclaré : « Tout au long de ma vie, j'ai fait l'expérience de l'unité, en étant plus ou moins conscient de l'impact et de l'influence de chaque action sur l'univers entier. Plus le temps passe, plus je me sens connecté à toutes les personnes, à tous les animaux et universellement à toute la nature. Mon intention est que chaque action et comportement contribue, soutienne et ajoute de la valeur à notre interconnectivité, en particulier à travers ma musique. J'ai l'impression qu'il s'agit d'un processus nourricier, voire de guérison, pour moi et pour ceux avec qui je la partage. » Élu par les lecteurs du magazine Guitar Player comme meilleur guitariste de musiques du monde, la musique de Bensusan est contemplative, nostalgique, sublime et prodigieusement interprétée avec une inspiration ancrée dans la nature. Le concept d’Azwan est né de l'observation des abeilles, ces insectes solaires qui travaillent ensemble dans l'obscurité, et de celle des oiseaux qui volent et dansent ensemble. C'est une représentation symbolique inspirante du continuum de la musique. Lorsque l'on voit le mot Azwan écrit, il peut évoquer un lieu, une ville ou une humeur, mais lorsqu'on l'entend à haute voix, on a l'impression qu'il s'agit de « l’unité ». J'ai contemplé toute la musique d’Azwan pendant des années avant de l'enregistrer, prenant le temps de permettre à toutes les notes de s'assembler pour ne faire qu’un. » Bensusan est un conteur, utilisant un langage expressif et lyrique à la guitare acoustique et une vocalisation éthérée pour séduire, transfuser et transporter. « Azwan est avant tout un album instrumental solo sur lequel la guitare est conçue comme un orchestre, délivrant mélodie, basse, accords et contrepoint dans le même espace. Nous y ajoutons quelques éléments vocaux et plusieurs collaborations avec des musiciens invités. J’ai demandé à Jean-Marie Ecay, guitariste de jazz & blues tout terrain (Nougaro, Lockwood, Galiano, Ponty, Cobham) de co-produire l’album et je lui en suis infiniment reconnaissant » a déclaré Bensusan qui a vécu à Paris depuis ses 4 ans et maintenant réside au vert, à 1h de la capitale. Apprenant à jouer de la guitare à l'âge de onze ans après quatre ans de formation au piano, Bensusan a signé son premier contrat de disque à 17 ans, remportant la Rose d'Or au Festival de Montreux pour son premier album de 1975, Près de Paris. Plus récemment, il a remporté un Independent Music Award en 2014 pour Encore : Live, un triple disque live. Il est considéré comme l'un des plus grands guitaristes acoustiques du 21e siècle, connu pour son immense vocabulaire sonore utilisant des touches de musiques du monde, new age, jazz, classique, traditionnelle, folk et pop avec des références culturelles françaises, arabes, latines et celtiques. Aucune ne peut être isolée, elles représentent le véritable vocabulaire de Pierre et la meilleure partie de notre monde dans son état actuel, un monde qui se partage.
27 septembre 2021

Cumbia Chicharra présente « El Grito »

Le groupe Cumbia Chicharra révèlera son nouvel album "El Grito" à l'occasion de sa sortie le 15 octobre 2021 chez Discos la Chicharra / Music Box Publishing / L'Autre Distribution (CD, vinyle et digital). Cumbia Chicharra présentera ce 4e opus à l'occasion de deux concerts de lancement exceptionnels : * le vendredi 17/09 à L'Espace Julien (Marseille) * le jeudi 18/11 au Hasard Ludique (Paris) Cumbia Chicharra La Cumbia Chicharra entrechoque avec sensualité la cumbia, les rythmes d'Amérique latine, les sons urbains et actuels. Le groupe marseillais assemble ses influences sans frontières, pour une musique savoureuse et explosive.  Forte de plus de 350 concerts au compteur, de la France au Chili en passant par la Russie, l’Espagne, le Maroc, l’Allemagne, la Croatie, la Hongrie ou l’Italie, la Cumbia Chicharra a ainsi gagné ses galons de groupe majeur de la scène latine européenne, exportateur de groove tropical et généreux, pourvoyeur de sueur et de frissons pour danseuses et danseurs. El Grito Une corde vocale vibre, le corps résonne, et le cri se libère en secouant tout sur son passage. "El Grito" (le cri), 4e album de la Cumbia Chicharra, est arrivé comme cela, du fond du cœur et à pleine puissance. Comme un orgasme, une délivrance, une transe collective ou une clameur de résistance... un cri pour chaque étape de la vie. Les 8 musiciens et le metteur en son du groupe ont chacun leurs influences et leurs caractères bien affirmés. C'est en forgeant patiemment leur unité, leur unanimité et leurs complémentarités musicales que ces nouvelles compositions sont nées.  La cumbia comme épicentre, et tout un monde pour amplifier les secousses : les musiques caribéennes, andines, afro- américaines ou orientales, l'amour de la danse, le goût du dub, du rock, et de l'électronique dans une transe de percussions.
3 septembre 2021

Baba Wazo présente « Animal »

Baba Wazo révèlera son nouvel EP "Animal" à l'occasion de sa sortie le 24 septembre 2021 chez La Belle Électrique / InOuïe Distribution, dont le premier extrait éponyme est d'ores et déjà disponible  sur toutes les plate-formes et dont le clip est à visionner ci-dessous. Baba Wazo est composé de : - Basile Théoleyre : chant, guitare, trompette - Maximilien Helle-Forget : claviers - Benjamin Colin : batterie, percussions participation exceptionnelle de Youssef Boukella (basse) et Zacharie Abraham (contrebasse) Le trio, accompagné d'Emrah Kaptan à la basse, présentera ce dernier opus sur la scène du Studio de L'Ermitage le mardi 19 octobre 2021 à l'occasion d'un concert de lancement exceptionnel. Baba Wazo pourrait être une figure imaginaire sortie de légendes populaires, mi-homme mi-oiseau, qui murmure à l’oreille de qui veut bien l’entendre ses chants mélodieux aux vérités crasses, tout en sous-entendus. A la fois insaisissable et inclassable. Autour de ses trois membres, Baba Wazo, se déploie au- delà des frontières entre chanson, world music, jazz et électro. A l’origine de Baba Wazo il y a un premier projet, Carmen, qui signifie le chant, le poème. Comme une évocation de la tradition incantatoire du ménestrel ou du griot. Entre transe et stance. Fondé par Basile Théoleyre, il nait d’une intuition esthétique où les textes en français viennent se mêler à une musique d’inspiration world. Il s’agit pour lui de retrouver la musicalité de la langue qui suggère plus qu’elle ne décrit, sans se priver pour autant du plaisir du sens. Membre de l’Orchestre National de Barbès depuis 2013, il baigne depuis longtemps dans les musiques du monde, ces musiques dont il ne comprend pas nécessairement les textes mais dont il aime les mélodies et dont il pense pourtant saisir le sens !
8 juillet 2021

Kandy Guira présente « Nagtaba »

Kandy Guira révèlera son nouvel album "Nagtaba" à l'occasion de sa sortie le 22 octobre 2021 chez Que Du Bonheur En Son / Vlad Production / RFI Talents / InOuïe Distribution, dont le premier extrait "Vie chère" en featuring avec Alif Naaba est d'ores et déjà disponible  sur toutes les plate-formes et dont le clip est à visionner ci-dessous. Kandy Guira et ses musiciens présenteront ce dernier opus sur la scène de Petit Bain  le mercredi 6 octobre 2021 à l'occasion d'un concert de lancement exceptionnel. L'équipe sera également en tournée aux dates suivantes : - vendredi 9 juillet à 18h00 :  Parc Fatima, Gennevilliers (92)  Concert gratuit en plein air - samedi 24 juillet à 20h00 :  festival Africajarc, Cajarc (46) Grande scène - mardi 21 septembre : ¡ Franchement ! Zone Franche fait son festival, 360 Paris Music Factory, Paris (75) En trio    L'ALBUM NAGTABA L'album Nagtaba : « Ensemble », est un album coloré, puissant et lumineux, militant et festif. C'est un appel à l'union, à la danse, à la transe !  On se laisse porter par toute la palette vocale et émotionnelle de Kandy Guira, on en ressort rêveur, secoué, heureux. Dans Nagtaba résonnent les "bendrés" (tambours du Faso), le «tchema» (cloche métallique), les boucles électroniques, et les basses puissantes comme un pont entre les 2 continents sur lesquelles navigue Kandy.  On y découvre des invités prestigieux : Alif Nabaa, Jowee Omicil, Floby et Maï Lengani. Oumou Sangaré disait de Kandy : "la future star de l'Afrique" ;  cet album fera indéniablement briller Kandy Guira au firmament ! LE 1ER SINGLE VIE CHERE Kandy Guira l’amazone du Burkina Faso dévoile ici Vie chère, le premier extrait de son album Nagtaba (Ensemble). Accompagnée d'Alif Naaba, le prince aux pieds nus, elle y développe son Faso életropop, mélange inspiré et lumineux entre ses musiques du Faso et les sons urbains. Chanteuse, auteure-compositrice, productrice, engagée pour le soutien aux enfants malentendants, la cause des femmes et l'avenir du continent Africain, elle pose une voix puissante sur des textes inspirés.
30 juin 2021

Ariana Vafadari présente « Anahita » pour une série de concerts estivale

Ariana Vafadari présente « Anahita » sa dernière création musicale, à l'occasion d'une série de concerts estivale : * le 8 juin à L’ilyade Seyssinet, Seyssinet-Pariset (38) * les 17, 18 et 20 juin au Festival des Sacrées Journées de Strasbourg, Strasbourg (67) : 17 juin : Cathédrale de Strasbourg 18 juin : Collégiale Saint-Thiébaut, Thann 20 juin : Eglise Saint Vincent de Paul, Strasbourg Anahita, est une pièce musicale et onirique, composée et interprétée par Ariana Vafadari sur un livret écrit en collaboration avec Leili Anvar. Ariana, mezzo-soprano sera accompagnée sur scène par Julien Carton (piano), Leila Soldevilla (Contrebasse) et Yacir Rami (Oud). L’enregistrement d’Anahita est paru en CD - Sortie digitale le 6/03, sortie physique le 19/06 (label Quart de Lune / Distribution Idol et UVM).   L’HISTOIRE Une jeune femme rêve du temps où son village était vert, elle se réveille face aux arbres qui meurent et sent son ventre vide. Elle a traversé les déserts et les terres en feu, désespérée elle prie la déesse dont elle porte le nom : Anahita. Cette divinité iranienne des eaux, de la fécondité, de la sagesse, est celle qui accroît les cours d’eau, les peuples et les vivants. Elle est aussi la guérisseuse et celle qui initie à la sagesse. Mais son culte fut oublié et son visage effacé. Aussi les eaux se sont-elles retirées chaque jour davantage du lit des rivières et des sources souterraines, transformant le monde fertile et verdoyant en un désert brûlant. Après un échange mystique avec la déesse, la jeune Anahita part en quête de l’eau d’immortalité, et trouve l’Amour. Imprégnée dans son enfance par la poésie et la philosophie zoroastrienne transmise par son père, Ariana Vafadari, avait à cœur de faire ressurgir les écrits millénaires de Zarathoustra, réunis dans «L’ Avesta», textes empreints de sagesse et de spiritualité, prônant la lumière et la bonté inhérente à l’homme. A travers ces prières adressées à Anahita, la volonté d’Ariana et Leili est de retrouver la place du féminin dans le monde. Entourée de musiciens aux origines culturelles et musicales diverses, certains formés à la musique traditionnelle iranienne, marocaine, d’autres au jazz, à la musique classique occidentale, Ariana Vafadari passe librement d’un univers à l’autre. Les textes sont en persans, en français, en langue Avestique, la langue ancienne des zoroastriens.
8 juin 2021

Luis de la Carrasca présente la tournée estivale « Gharnata »

Luis de la Carrasca présente le spectacle "Gharnata" (tiré de l'album éponyme, sorti le 11 octobre 2019 chez Andalouse Alhambra / Inouïe Distribution), à l'occasion d'une tournée estivale de 24 dates, dont plus d'une vingtaine à Avignon (du 21 juin au 31 juillet 2021) : * lundi 21 juin 2021 à 20h30 dans Le Jardin Romain, Caumont-sur-Durance (84) gratuit à l'occasion de la fête de la musique * samedi 26 juin 2021 à 17h00 à l'Auditorium de Lure (70) * du 7 au 31 juillet 2021 à 20h30 (relâche les lundis 12,19 et 26 juillet) au Théâtre du Chêne Noir, Avignon (84) en coréalisation avec le Théâtre du Chêne Noir dans le cadre du Festival Off d'Avignon L'équipe de "Gharnata" est composée de : - Luis de la Carrasca (Création artistique, auteur-compositeur, chant, guitare Flamenco) - José Luis Dominguez et Manuel Gomez (Guitare Flamenco) - François Taillefer (Cajón/percussions) - Benjamin Ramos (Contrebasse) - Jérôme Boudin-Clauzel (Piano) - Ana Pérez (Choeurs, palmas et danse Flamenco)   Gharnata Spectacle du nouvel album sorti le 11 octobre 2019 Gharnata veut dire Granada en arabe. Pourquoi ce titre ? Car étant Grenadin, Luis de la Carrasca est conscient de l’héritage laissé par cette extraordinaire civilisation lors de son apogée. Luis de la Carrasca dont la voix passe aisément d’un registre tout en puissance à un autre tout en retenue est entouré sur cet opus de 5 musiciens : des guitaristes José Luis Dominguez et Manuel Gomez, du contrebassiste Benjamin Ramos, du percussionniste François Taillefer, du pianiste Jérôme Boudin-Clauzel et d’Ana Pérez aux choeurs, palmas et à la danse. Ses paroles font référence aux valeurs indispensables à l’humanité : le respect, la coexistence, la tolérance, la générosité, la volonté, la foi, la bonté et le plus important l’Amour, du prochain, de la vie, de la terre, de la nature... Il a ressenti la nécessité d’aborder nos racines qui nous guident vers le futur sans oublier d’où nous venons et qui nous sommes. Luis de la Carrasca rend aussi hommage aux génies universels que sont Federico García Lorca, Antonio Machado et le grand Bizet. Un patrimoine inoubliable pour l’humanité. Luis de la Carrasca Cantaor – créateur artistique de la Cie Flamenco Vivo Auteur-Compositeur – Membre de la SACEM, de la SACD, de la SPEDIDAM et de l'ADAMI. Originaire de Huéscar (province de Grenade – Espagne), il grandit dans cette Andalousie rurale où il se passionna très jeune pour ce « Mundillo Flamenco ». Il est actuellement un artiste Flamenco reconnu et l'une des références dans le monde Flamenco. Autodidacte, il a hérité du don de ses ancêtres pour « el Cante ». Pendant longtemps, il fréquenta le monde Flamenco Grenadin et côtoya le danseur gitan Juan Ramirez. Puis, il se produisit sur sa terre natale, dans les Iles Baléares (1ère partie d’Ana Reverte) et dans la région d’Alicante jusqu’en 1991 date à laquelle il s’installe en France. Cette même année, il participe à son premier Festival d’Avignon au Théâtre du Balcon. A partir de là, tout s’enchaîne, il monte « FLAMENCO VIVO » et à chaque Festival Off d’Avignon (de 1991 à 2019), il crée et présente un nouveau spectacle. Il fêtera en 2021 son 30ème Festival d’Avignon. Sa compagnie a toujours été en constante évolution car il découvre, rencontre et s’entoure de nouveaux artistes et de jeunes espoirs français, fils d’espagnols ou andalous. Au fil du temps, sa compagnie devient la Cie Flamenco Vivo.  Luis de la Carrasca a réalisé les adaptations Flamenco d’oeuvres de théâtre classique et contemporain et en a composé la musique. En 1994, il joue dans le film « Dis moi oui » d’Alexandre Arcady. Il est à l’origine du Festival Andalou créé par l’Association Andalouse Alhambra, à Avignon et le département de Vaucluse. Son album Gharnata est sorti le 11 octobre 2019 (Production A. Andalouse Alhambra avec l’aide de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, de l’ADAMI et de la SCPP – Inouïe Distribution).
31 mai 2021

Dérapage Prod et L’Opéra de Lyon présentent la création « Sahariennes »

Dérapage Prod et l'Opéra de Lyon présentent la création  "Sahariennes" à l'occasion d'une tournée de 5 dates exceptionnelles dont deux parisiennes, le samedi 5 juin 2021 à 17h et 19h au 360 Paris Music Factory. Ce spectacle, sous la direction artistique de Piers Faccini, révèlera le travail de 4 grandes artistes originaires du désert saharien : Noura Mint Seymali, Souad Asla, Dighya Mohammed et Malika Zarra. Voici les différentes représentations à venir :  3 juin : OPERA DE LYON (18h30) // résidence du 22 au 27 mai 2021 4 juin : Le Grand Sud, LILLE  (en partenariat avec l’IMA de Tourcoing) (19h) 5 juin : Le 360, PARIS (deux représentations 17h et 19h) 6 juin : Grand Théâtre d'Orléans (17h) Cette création s'inscrit dans le cadre de la saison Africa 2020 initiée par l’Institut Français.   Le Sahara, haut lieu de l’imaginaire occidental, est à la fois une invention d’européens en quête d’exotisme, et un terrain physique ou s’affrontent les idées reçues et des cultures millénaires. Les femmes du désert telles que les ont souvent imaginées les européens, sont des créatures de fantasme, des sahariennes, voilées et mystérieuses, des objets exotiques qui n’ont que peu à voir avec la réalité des femmes de la région. Le spectacle “Sahariennes” célèbre les héritages communs des véritables sahariennes - des femmes d’Algérie, du Maroc de Mauritanie et du Sahara occidental. Une création musicale qui fait fi des clichés et tente d’aller au-delà des conflits qui définissent trop souvent les relations de leurs pays respectifs. Parce que ces sahariennes partagent des traditions cousines et une volonté commune d’imposer leur parole d’artiste. Traditions profanes ou sacrées, héritages berbères, touaregs, ou gnawa - les musiques des quatre côtés de cette frontière de sable appartiennent à une grande famille. En mettant cet héritage en commun et en créant des formes nouvelles, ces femmes affichent une solidarité artistique qui fait fi des adversités quotidiennes ou géopolitiques. Noura Mint Seymali, issue d’une famille de griots, est la grande chanteuse mauritanienne de sa génération. La chanteuse Dighya Mohanned Salem porte son histoire de réfugiée sahraouie mais demeure une artiste tournée vers le futur. Souad Asla milite pour diffuser le patrimoine musical des femmes algériennes, entre autres avec les musiciennes de Lemma. Malika Zarra est une artiste marocaine qui partage son temps entre le Maroc, la France et les Etats-Unis et est une habituée des collaborations. En imposant une lecture féminine de l’histoire culturelle de la région, les Sahariennes font beaucoup plus que bouleverser les clichés qui ont leur origine, dans leurs cultures respectives, ainsi que dans l’imaginaire des colonisateurs d’antan. Voila plus de quarante ans que les femmes sahraouies sont un symbole de dignité et d’indépendance. Malgré les combats politiques et guerriers, malgré les partages de frontières arbitraires et belliqueux, les sahraouies sont demeurées un des grand symbole des combat indépendantistes et féministes. Héritières d’une tradition matriarcale qui n’a jamais pu être effacée, elles sont, au quotidien, les garantes d’un ordre social qu’elle contrôle, et les chanteresses d’une culture qu’elles défendent. De chaque coté de ces frontières invisibles à l’œil nu, les sahariennes ont hérité de cette histoire commune. Et comment mieux exprimer cet héritage à travers la musique, à travers la plus profonde expression d’une culture traditionnelle. Les Sahariennes ont pour but de souligner cet héritage et cette culture commune. Le résultat n’est ni politique, ni vraiment revendicatif. En s’imposant comme artistes avec des choix esthétiques, elles se placent en défenseures d’une culture commune, et ne font, finalement, que rappeler un état de fait : que les femmes du Sahara sont les virtuoses du quotidien, et les architectes d’un monde futur.
19 mai 2021