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Pao Barreto présente « Spiralis »

Pao Barreto présentera son nouvel album "Spiralis" le vendredi 24 septembre 2021 à 20h30 sur la scène du Studio de l'Ermitage,  à l'occasion de sa sortie le  9 avril 2021 en physique (CD et vinyle) et le 30 avril 2021 en digital chez El Clan Records / InOuïe Distribution. L'album Avec Spiralis, Pao partage avec nous deux aspects de son univers : l’un vivant, chaleureux et plein de joie ; et l’autre, mystique et introspectif. Ses compositions puisent dans une multitude de styles : les rythmes festifs caribéens (porro, champeta, cumbia) côtoient des sons électroniques très réverbérés, auxquels se mêlent des touches de soul, funk et reggae. Ses textes, en espagnol et en français, célèbrent les thèmes qui lui sont chers : la connexion à la nature, le rythme cyclique de toute chose et la capacité de chacun à se transformer. L'artiste Véritable bourrasque incandescente, Pao Barreto rayonne sur scène et propage autour d’elle une force de vie puissante. Au fil des concerts, le public est vite conquis par son énergie et sa voix pleine au timbre chaud. Après six années intensives à écumer les scènes parisiennes, françaises et internationales, l’aventure prend un nouveau tournant en mars 2020 entre Paris (El Speaker et Nicolas Vair) et Bogota (Groove Studios avec Nicolás Cajamarca, Jorge Corredor et Harbey Marin : Latin Grammy 2018). Pao enregistre son premier album solo Spiralis, dont elle est autrice-compositrice et productrice. Spiralis, la spirale, symbole du renouveau perpétuel, de l’énergie vitale qui circule à l’infini. Un symbole qui l’accompagne depuis longtemps : bien avant son arrivée en France, Pao a longuement exploré son monde intérieur grâce au yagé, boisson médicinale des peuples précolombiens du Putumayo. Lors des cérémonies nocturnes menées par les taitas (shamanes), la plante lui révélait toujours cette figure de géométrie sacrée.
18 février 2021

Carla Pires présente « Cartografado »

Carla Pires présentera son quatrième album solo "Cartografado" à l'occasion de sa sortie le  5 mars 2021 chez Ocarina Music / L'Autre Distribution.  "Carla Pires est l'un des plus grands talents du fado de ce siècle. Ses morceaux sont généralement plus acoustiques que ceux de ses concurrents plus modernes. C'est pourquoi Carla Pires met l'accent sur son chant et il devient vite évident qu'elle possède l'une des voix les plus belles et les plus pénétrantes sur le plan émotionnel dans le fado contemporain". Cees Bronsveld, HEAVEN Magazine, Pays-Bas - n°4 juillet-août 2020  CARTOGRAFADO, est le quatrième album solo de Carla Pires, après AQUI (2016), ROTA DAS PAIXÕES (2012) et ILHA DO MEU FADO (2005).   La surprise d'un fado avec l'âme d’une voyageuse. La modernité de la musique portugaise aux racines multiples, cosmopolite et rurale, nationale et itinérante, chemine tout au long de cet album. Moments de poses et de conversations inattendus où l’auditeur est invité à entrer dans un autre temps et à approcher différemment les errances du fado tout au long de ce voyage de part le monde. L’auditeur erre au travers de sonorités frontalières, en passant des bulerías flamencas aux virevoltements du Vira, altérant le sens des fados sans en changer l’essence. On retrouve à la fois dans cet album, le bouleversement d’une perte amoureuse mais aussi les méandres de la vie et l’affrontement du destin, ou encore des rencontres dans des paysages de silence et de solitude, le départ, l'aventure, la chance, la nostalgie et enfin  le retour au pays et les moments de fête. Au travers de ce voyage musical, la richesse émotionnelle de la voix de Carla Pires nous emmène du rire aux larmes, traçant les lignes de CARTOGRAFADO. Parmi les 14 morceaux de l’album, 11 titres sont des originaux. A noter le titre interprété en français par Carla Pires "Ta bouche aux lèvres d'or", reprise du poème de  Paul Eluard. Les paroles de l'album sont d'Amélia Muge, Tiago Torres da Silva, Manuela de Freitas, Maria do Rosário Pedreira, Carla Pires, André M. Santos et Joaquim Balas et les compositions d'Amélia Muge, André M. Santos, Francis Hime, Ivan Lins, Joaquim Balas, Michales Loukovikas et Samuel Quedas.
18 février 2021

Lalala Napoli présente « Cavalluccio » au Studio de l’Ermitage

Lalala Napoli présentera son nouvel album "Cavalluccio" le mercredi 20 octobre 2021 à 20h30 sur la scène du Studio de l'Ermitage, à l'occasion de sa sortie le 5 mars 2021 chez La Curieuse / L'Autre Distribution. Le groupe est composé de : - François Castiello : CHANT, ACCORDÉON - Nicolas Lopez : VIOLON - François Vinoche : BATTERIE - Julien Certin : ACCORDÉON - Thomas Garnier : FLÛTE, GUITARE, CIARAMELLA - Maxime Oudry : CONTREBASSE Depuis 10 ans Lalala Napoli explore ses racines italiennes imaginaires à travers le Naples fantasmé de François Castiello, chanteur accordéoniste de Bratsch. Avec Cavalluccio, le groupe s’est choisi un nouveau destrier pour sonder les profondeurs de la transe, du galop de la tarentelle, aux parades rituelles d’anciennes technos napolitaines. Le choeur scande généreusement ses hymnes à la liberté à la fraternité ; et Rossini lui-même est invité à une fête où sérénades amoureuses, opéras, tamuriatas et cavalcades calabraises s’entre-choquent et se transforment en un nouveau son traditionnel. D’humeur joyeuse et sauvage, picaresque et rugueuse, comme le trop plein d’un cœur immense, Lalala Napoli offre une fête acoustique et électrique pour nous conduire au-delà de l’Italie, de la nuit des temps à demain ! Un troisième album de rage et de douceur mêlées, en partie inspiré par un concert mémorable donné à Allessandria del Caretto (Calabre) à l’été 2018 : 3 jours de fête, d’amour, de soleil et de liberté. Cavalluccio est un pont lancé vers une tradition musicale du futur, qui confirme la place emblématique de Lalala Napoli au sein du paysage musical européen.
7 décembre 2020

Azmari présente « Samā’ī »

Azmari dévoilera son nouvel album "Samā'ī", à l'occasion de sa sortie le 5 février 2021 chez Sdban Ultra / L’Autre Distribution. « Fat Ari » le premier titre extrait de ce nouvel opus est sorti le 6 novembre 2020 : « Fat Ari signifie "Le créateur" en langue amharique, cette chanson évolue à partir d'un thème envoûtant où flûte et kaval se rejoignent dans une atmosphère unique pour finir par une séquence dub tout droit sortie de l’espace... » Azmari. « Azalaï » le second extrait sort quant à lui le 4 décembre 2020, et voici ce que le groupe en dit : « Lentement, la voilà qui arrive. Sinueuse. Elle frotte son ventre contre la terre, slalome entre les cailloux, trace son destin dans la mer d’or. Azalai. La musique traîne, se répète, se complète et s’envole comme le vent maculé de sable et d’épices. Elle prend sa respiration dans les dunes du désert et avance, avance. Elle avance sans répit, elle se gorge d’images, de saveurs, d’extase et s’intensifie au fur et à mesure du tempo. Elle saccade cette musique. Elle se noie, expire et se réveille sous le soleil d’orient. Les corps tanguent, vrillent, subissent la morsure du soleil et se perdent dans l’ivresse. D’aucun n’en voit le bout. C’est un venin hypnotique. Une transe interminable. Toujours vers l’avant. Toujours vers l’horizon lointain. On avance. Azalai comme seul guide. » Le mot « Azalai » désigne la caravane de commerce touareg qui traversait le désert du Sahara deux fois par an sur près de 1000 kilomètres pour le transport du sel entre Taoudenni et Tombouctou. Le groupe introduit notamment dans ce morceau le saz Baðlama et le kaval, deux instruments qu’ils ont ramené lors d’une tournée à Istanbul et ont ensuite intégré à leur univers. Ces instruments entrent en communion pour nous emmener, grâce à une section rythmique frénétique vers une transe enivrante... ». Créé à Bruxelles en 2015, Azmari est une odyssée musicale qui fusionne avec expertise l'éthiogroove, le dub, le psychfunk et les sons orientaux. S'inspirant d'artistes tels que Okay Temiz, Mulatu Astatke, Cymande, Fela Kuti et The Heliocentrics, un Azmari, littéralement "celui qui loue" en amharique, est un chanteur-musicien éthiopien, comparable au barde européen ou au griot ouest-africain souvent accompagné d'un masenqo - violon à une corde ou krar - lyre, deux instruments traditionnels éthiopiens. Après la sortie de leur premier EP "Ekera" l'année dernière, une série de concerts à travers l'Europe a permis de développer le son Azmari dont dix jours de concert à Istanbul qui ont « ouvert les oreilles » du groupe aux sons et aux rythmes turcs des années 60. Désireux de retourner en studio pour commencer à travailler sur leur premier album, ils ont étudié minutieusement les gammes turques et éthiopiennes, tout en apprenant par la même occasion de nouveaux instruments, notamment le berimbau, le ney et bağlama. Le son d’Azmari s'est transformé en un voyage rebel, implacable et hypnotique. Les neuf titres qui composent le premier album "Samā'ī", dont la sortie est prévue le 5 février chez Sdban UItra / L’Autre Distribution, sont une expérience profondément hypnotique où des rythmes envoûtants et des improvisations sinueuses projettent l'auditeur dans un état de conscience supérieur. Du saxophone magique du début de l'album "Zegiyitwali", au modèle dubby de "Cosmic Masadani" et aux joyeuses trompettes de "Kugler", Azmari mélange avec précision et sans effort des mélodies africaines et orientales, offrant une nouvelle vision du son ethiojazz. En outre, les sons lourds et rythmés de "Tariq Al Sahara" et du mystique et cosmologique "Azalai" poursuivent notre voyage sacré avec des saxophones enragés et des percussions qui décoiffent. Tandis que le titre "Kadiköy", libre d'esprit et planant, d'une durée de neuf minutes, donne un aspect trance à des motifs où le jazz psychédélique rencontre l'afro-funk.
7 décembre 2020

Aribo Productions présente « Medicine Man Orchestra »

Aribo Productions présente "Medicine Man Orchestra", à l'occasion de sa sortie digitale chez Believe et physique chez L’Autre Distribution le 5 février 2021 . L’album sera présenté sur la scène du Studio de L’Ermitage, à l’occasion d’un concert de lancement en Live Stream le vendredi 22 janvier 2021 à 21h00. Le projet Medicine Man Orchestra est né de la rencontre entre le griot béninois Seidou Barassounon et le producteur français Mathieu Insa. C’est une véritable épopée sensorielle qui réunit sur scène les percussions de Mélissa Hié (Burkina Faso), les machines électroniques d'Alissa Sylla (Sénégal) et les incantations du griot. Le guitariste britannique Justin Adams (Tinariwen, Robert Plant) et le percussionniste nigérian Wura Samba (Keziah Jone, Nneka) ont également participé aux enregistrements de la musique du spectacle composée par Alissa Sylla. La scénographie est confiée à Nicolas Ticot (XLR Project) pour la création de fresques lumineuses en trois dimensions synchronisées à la musique. Enfin, France Médias Monde, principal partenaire du projet, apporte avec RFI Labo, son expertise concernant le mixage en son binaural ainsi que la conception de vidéos en réalité virtuelle. La technologie binaurale permet notamment un rendu sonore au plus proche de l’écoute naturelle. Nous vous annoncerons prochainement la date la première parisienne, d'ici là voici les dates de la tournée 2020 / 2021 : - 26 novembre : Alliance Française d’Accra (Ghana) - 28 novembre : Institut Français de Lomé (Togo) + Atelier numérique le 30 novembre - 5 décembre : Institut Français de Cotonou (Bénin) + Masterclass au lycée Montaigne le 4 décembre - 12-14 janvier 2021 : résidence au Forum de Vauréal avec sortie de résidence le janvier 14 soir. « Medicine Man Orchestra » est une expérience sensorielle dans l’univers spirituel des griots d’Afrique de l’Ouest. Il explore le pouvoir émotionnel et thérapeutique de la musique et des mots au delà des frontières et à travers l’histoire. Les griots sont nés sous l’empire du Ghana (IVe-XIIIe siècle), puis ont traversé l’histoire de l’empire du Mali (XIIIe-XIVe siècle) puis de l’empire Songhaï (XVIe et XVe siècle) et sont toujours présents de nos jours. Découvrir leur musique est un défi lancé au temps : c’est découvrir une musique contemporaine de notre Moyen Age européen mais qui a su rester vivante, populaire, évolutive et « classique » au sens noble du terme ! Vous l’entendez aujourd’hui dans les cours des chefs de village comme à la radio ou à la télévision. Cette musique millénaire, écoutée et respectée dans toute l’Afrique de l’Ouest, joue un rôle essentiel : la transmission de la mémoire par la parole, hors des institutions religieuses. La musicothérapie est utilisée pour améliorer le bien- être général et particulièrement bénéfique dans l’accompagnement de personnes rencontrant des difficultés comportementales, relationnelles ou de communication. De tout temps, l’effet thérapeutique de la musique a été reconnu. Les Anciens et les cultures traditionnelles la considéraient comme une science sacrée. Les griots d’Afrique de l’Ouest n’ont jamais douté de l’effet thérapeutique de leur musique. Ainsi, en fonction du contexte, ils vont tantôt jouer une musique pour consoler ou réconforter lors des funérailles d’un roi par exemple, tantôt pour éloigner des énergies négatives ou encore pour entrer dans une transe méditative ou joyeuse. Ainsi, Medicine Man Orchestra est une « troupe thérapeutique itinérante » qui utilise les codes de la musicothérapie et offre aux spectateurs du monde entier une expérience auditive et visuelle unique utilisant des technologies innovantes de diffusion des sons et des images. C’est un projet ambitieux qui se donne comme mission l’apaisement et le mieux-être de l’humanité.
23 octobre 2020

Clément Oury présente « La tête dans la mur »

Clément Oury dévoilera son nouvel album "La tête dans le mur", à l'occasion de sa sortie le 13 novembre 2020 chez Vlad / Inouïe Distribution (digital / vinyle). « Quelques sons du quotidien enregistrés au fil des saisons. Des grains de maïs, des fleurs de houblon, des noix, des pétales de roses et je commence avec cette valse d’Automne. Puis l’envie de partager ces ambiances avec d’autres musiciens à qui je propose ces instrumentations minimalistes, répétitives qui commencent à prendre forme. » Clément Oury. Il ne lui aura pas fallu beaucoup de temps pour accorder son violon : pas de pause ni de soupir pour Clément Oury qui commence son premier couplet dans des conservatoires (ENM de Beauvais puis Conservatoire du Centre de Paris). La ballade se poursuit en crescendo avec la rencontre du tuba dans lequel il s’épanouit deux ans au Conservatoire National de Région de Boulogne-Billancourt dans la classe d’Arnaud Boukhitine, mais aussi en analyse, harmonie, musique de chambre, prise de son et orchestre. Après un an d’auditeur libre au CNSM de Lyon dans la classe de Mell Cubertson, il entre dans la prestigieuse Universitat der Kunste de Berlin dans la classe de Dietrich Unkrodt où il obtient un premier prix. A sa portée, une large gamme de genres musicaux dans lequel il apporte sa touche notamment dans l'Orchestre Philharmonique du département de l’Oise, le projet Shantel & Bucovina Club avec qui il part en tournée européenne pendant 2 ans ou encore dans l'enregistrement de bandes originales dont celle du dernier film de Tony Gatlif. Ce parcours aurait pu se terminer en fanfare, avec Ziveli Orkestar avec qui il joue pendant 10 ans, mais non, le tempo est lancé et Clément Oury se met à accompagner différentes formations : le quatuor Aalma Dili, le groupe Soviet Suprem et depuis peu le projet plus électronique : Mezerg Orkestar. Ce multi-instrumentiste rythme aussi depuis quelques années, tant en enregistrement qu'en concert, les mélodies des jolies voix de The Do, Yael Naïm et depuis peu, Emily Loizeau. La partition était déjà toute écrite et cela va durer jusqu'à ce que l'idée de donner naissance à sa propre musique ne survienne. Clément Oury, après une longue période de réflexion finit par faire appel à sa longue expérience artistique ainsi qu'à son inspiration pour faire émerger un premier album solo reflétant les émotions de la vie.  
23 octobre 2020

Belkacem Drif présente « Siempre lo mismo » au Studio de L’Ermitage

Belkacem Drif dévoilera son nouvel album "Siempre lo mismo", à l'occasion de sa sortie le 5 février 2021 chez Chez Oime Production / Inouïe Distribution. Ce nouvel opus sera présenté le mercredi 15 septembre 2021 sur la scène du Studio de L'Ermitage. Né en Banlieue parisienne, Belkacem Drif est le benjamin d’une fratrie de 12 enfants. Même si la musique a toujours été présente au sein de la famille, rien ne le prédestinait à devenir musicien professionnel. C’est avec ses voisins, une famille de musiciens d’origine gitane, qu’il s’initie aux percussions, découvre le flamenco et se passionne pour cette musique. Comme il est turbulent, son instituteur lui conseille d’intégrer une école de musique où il travaille les percussions classiques. A 16 ans il commence à jouer dans les bals le week-end et décide de se consacrer uniquement à la musique. Il s’inscrit au conservatoire du 9e arrondissement de Paris, puis sous la baguette de Guy Hayat, il intègre le CIM, où il étudie l’harmonie Jazz avec Philippe Baudoin. Il sort diplômé de l’école de batterie Emmanuel Bourseault et obtient une licence de musicologie à Paris 8. Belkacem Drif fait ses premiers pas en tant que musicien professionnel en accompagnant de nombreux artistes et groupes. Rock ou Bossa, Soul ou Jazz, Variété dans le sens noble du terme, il goûte toutes les saveurs, les nuances, les résonances. Il reste un amoureux du rythme, des rythmes, d’où qu’ils viennent. De la musique de sa Kabylie originelle à ses voyages en Espagne, au Maroc ou encore aux Etats- Unis, de ses rencontres avec des musiciens de tous horizons (Antonio Lopez, Brahim Izri, Julio Laks, Alain Jean-Marie, Saïd Mesnaoui et Travis Bürki pour ne citer qu’eux), Belkacem a gardé le goût du partage, d’une musique généreuse, ouverte aux expériences et aux mélanges. En un mot : l’ouverture aux autres. SIEMPRE LO MISMO son 2e album ouvre le champ au chant et à de nouvelles rencontres. Toutes ses compositions racontent ce goût profond pour la découverte et le métissage.
23 octobre 2020

Antonio Placer Sextet invite Antonio Campos et présentent « Trovaores »

Antonio Placer Sextet (nominé aux Victoires de la Musique 2022, catégorie meilleur artiste masculin) invite Antonio Campos (nominé aux Latin Grammy 2020) et dévoileront leur nouvel album "Trovaores", à l'occasion de sa sortie le 18 décembre 2020 en digital et le 5 février 2021 en physique chez Musiques créatives du Sud - Alma Musiques / L'Autre Distribution. Ce nouvel opus sera présenté le mardi 23 novembre 2021 sur la scène du 360 Paris Music Factory, avec la présence exceptionnelle du danseur Flamenco Andrés Marín. Trovaores Trovaores est l’histoire d’une rencontre, celle du flamenco, du jazz et de la chanson au cœur des montagnes enneigées de Grenoble et de Grenade. Sept artistes prennent un immense plaisir à se retrouver ensemble sur scène pour créer une histoire musicale faite de normes et de transgressions et la partager avec le public. Leurs arrangements nous font passer du flamenco le plus essentiel aux sonorités du jazz ou de la trova poétique hispanique ou galicienne apportant au spectacle une respiration et un rythme où chaque pulsion est un tribut à une profonde énergie syncrétique. Trovaores prend la forme d’un spectacle à deux voix, puissantes, contrastées et complémentaires, soutenues par des musiciens d’horizons divers, une sorte de pont entre les Suds, entre les ici et les ailleurs. Il croise ainsi deux univers artistiques et poétiques portés par des voix profondes, rugueuses lorsque le duende oblige, tout en retenue lorsque l’émotion s’impose. Portés aussi par des textes d’où se dégagent une puissance rageuse et un engagement de tous les instants. Trovaores, c’est le duende en action et en interactions, car si le duende est l’âme des « sons noirs», il est aussi l’esprit des rencontres. Antonio Placer Chanteur, musicien, poète, compositeur, arrangeur, Galicien exilé en France, il fabrique une musique du monde et des chansons façonnées par les différents vents qui l’ont porté tout au long de son parcours. De quel style, de quelle nature est sa musique ? Difficilement classable... Il ne fait ni du flamenco, ni du jazz, ni du fado, ni du tango, ni de la musique classique. Son art est avant tout la scène qu’il investit de sa présence généreuse et engagée. Il a la sincérité d’un Jacques Brel, la colère d’un Léo Ferré et la passion révolutionnaire d’un Jean Ferrat. Son chant de tragédien frémissant embarque le publique des scènes de France et d’ailleurs depuis vingt-quatre ans. Ses mots et sa présence bouleversent et prennent aux tripes.... Il a composé plus de 20 créations originales sur les scènes nationales et internationales de plus de 30 pays. Il a offert ainsi plus de 300 chansons au public de tous les continents. Il a publié 13 disques. Son œuvre poétique est publiée dans plusieurs pays et écrite en quatre langues différentes. Il a partagé son art et composé ses spectacles avec des grands artistes comme : Fernando Suarez Paz (violoniste d’Astor Piazolla), Renaud García-Fons, Steve Swallow, Paulo Bellinati, Carlo Rizzo, Elena Ledda, Angélique Ionatos, Amancio Prada, Rocío Marquez, Gabriele Mirabassi, Toninho Ferragutti, Jean-Marie Machado, Stracho Temelkovski, Jean-François Baez, Jorge « Negrito » Trasante, Cristina Azuma, Mauro Palmas, etc.
20 octobre 2020

Ozferti présente « Solarius Gamma » à Mains d’Oeuvres

Ozferti dévoilera son nouvel album "Solarius Gamma", à l'occasion de sa sortie le 13 novembre 2020 chez Humpty Dumpty Records / L'Autre Distribution. Suivez Ozferti, le beatmaker masqué et son voyage vers les étoiles, dans un album inspiré par la musique est-africaine et en partie produit et enregistré à Addis Abeba, Ethiopie.   Ozferti Florian Doucet est un vétéran de la musique. Avant de se consacrer entièrement à Ozferti, il a tourné dans le monde entier et en studio avec le groupe afro-colombien LA CHIVA GANTIVA (Crammed Discs) et le groupe afro-portugais TERRAKOTA (Fazuma). Hypnotisé par la musique moderne éthiopienne, il sort en 2016 l’EP ADDIS ABOUMBAP, 11 titres d'EthioJazz et de paysages électroniques. Le disque a été salué par la critique et a été largement diffusé par des DJ et radios underground (DJ Mellow / LOW UP, BEAT CHRONIC, Radio Nova Paris) mais aussi sur de grandes stations (KCRW Los Angeles, Worldwide FM, RINSE fm France). C’est le début du projet Ozferti, une aventure qui mélange les compétences musicales et visuelles de Flo. La musique contient des éléments de musique Electronica, Jazz, Hip-hop et Bass, tout en utilisant la couleur et la richesse des instruments et rythmes est-africains. C'est une odyssée spatiale, dépeignant l'histoire d'une planète violette et d'un musicien masqué, un endroit étrange qui nous fait réfléchir sur notre propre monde. Solarius Gamma  Bienvenue dans le premier chapitre de la saga OZFERTI. Entrez dans une galaxie inconnue, où se chevauchent gravités multidimensionnelles et espace temps hasardeux ; où de nouveaux dieux remplacent les vieilles idoles et les écosystèmes sont écrasés par l'économie minière spatiale. Suivez OZFERTI, le beatmaker masqué et son voyage vers les étoiles, dans un album inspiré par la musique est-africaine et en partie produit et enregistré à Addis Abeba, Ethiopie. L'album de 11 titres vous emmène à travers paysages désertiques et atmosphères de science-fiction. Motifs rythmiques et percussions s’entrechoquent avec synthétiseurs électroniques et guitare électrique.
2 octobre 2020

David Krakauer & Kathleen Tagg présentent « Breath & Hammer »

David Krakauer & KathleenTagg dévoileront leur nouvel album "Breath & Hammer", à l'occasion de sa sortie le 21 août 2020 chez Table Pounding Records / L'Autre Distribution. Le duo est composé de : - David Krakauer : clarinette  - Kathleen Tagg : piano et "piano orchestral"   Le clarinettiste américain David Krakauer, nominé aux Grammy, figure incontournable de la musique klezmer du XXIe siècle, et par ailleurs soliste de Musique Classique, et Kathleen Tagg, compositrice, arrangeuse, pianiste et productrice novatrice, sortent Breath & Hammer sur leur propre label Table Pounding Records, avec une tournée européenne en vue pour promouvoir l'album dont la sortie est prévue en France le 21/08/2020 chez L’Autre Distribution. Cet album, véritable performance électro-acoustique révélant les approches innovantes et idiosyncrasiques du duo sur leurs instruments respectifs, présente à la fois des compositions originales et des interprétations très personnelles de la musique de certains de leurs amis les plus proches, parmi lesquels John Zorn et Kinan Azmeh, dans une texture qui intègre de manière transparente des boucles, des samples et des performances en direct. Breath & Hammer est à la confluence de plusieurs courants musicaux, résultant des solides références des deux artistes en tant que musiciens de concert classiques, mais aussi des années de Krakauer en tant qu'innovateur klezmer, compositeur, leader de groupe et expérimentateur d'avant-garde, ainsi que de la carrière à multiples facettes de Tagg, qui a créé et joué pour la scène et le théâtre, allié à ses compétences en tant qu’arrangeur et productrice Le Wall Street Journal déclare que "David Krakauer est un clarinettiste tellement expressif qui passe si facilement d'un genre à l'autre que l'on pourrait presque penser qu'il n'y a pas de différence appréciable entre le jazz, le klezmer et la musique classique formelle", mais la description convient aux deux partenaires et laisse entrevoir le fil conducteur de chaque projet qu'ils entreprennent : favoriser les liens humains par une musique qui transcende toutes les frontières stylistiques et culturelles. Comme pour tous ses précédents albums, Tagg a produit Breath & Hammer, que Krakauer décrit comme "une tapisserie médiévale de la taille d'un appartement, composée d'échantillons de la taille des ongles". Parmi les compositeurs qui ont contribué au projet, on trouve le saxophoniste John Zorn, le clarinettiste syrien Kinan Azmeh, le percussionniste cubain Roberto Rodriguez, l'accordéoniste Rob Curto et l'accordéoniste et spécialiste du klezmer Emil Kroitor, en plus de Krakauer et Tagg eux-mêmes. Lors des performances en direct, les techniques de jeu étendues, les boucles et les samples de Breath & Hammer sont galvanisés par un flux vidéo immersif à plusieurs caméras créé par l'artiste vidéo Jesse Gilbert, basé à Los Angeles, permettant au public de voir de près et en temps réel les styles de jeu peu orthodoxes du duo. Une conception vidéo considérablement élargie, projetée sur un hexagone translucide de grilles entourant les artistes, a été créée à la Pierre Boulez Saal à Berlin et a été présentée en avant-première avec des intermèdes sonores spatialisés nouvellement composés au printemps dernier sous le nom de Breath & Hammer II : Les liens qui nous unissent.
10 juin 2020

Niqolah Seeva présente « 3NE »

Niqolah Seeva dévoilera son nouvel album "3NE", à l'occasion de sa sortie le 23 octobre 2020 chez Vlad / Absilone / Socadisc / Believe.Ce nouvel opus sera présenté le mardi 20 octobre 2020 à 20h30 sur la scène du Studio de l'Ermitage. Instrument hybride, langue hybride #Anglarabe, thématique futuriste, harmonie microtonale, instruments orientaux et traitements electro- acoustiques, "3NE" (prononcer “One”) symbolise l'unité dans la multitude.   Musicien explorateur aux inspirations multiples, Niqolah Seeva est constamment en quête d'expériences sonores et de nouvelles vibrations. Avec son instrument inventé en bandoulière (croisement entre un oud et une guitare), il s'est progressivement affranchi de toute forme de contrainte artistique, dans un inexorable exode qui l'a mené du rock'n'roll de ses débuts jusqu'à des territoires aussi divers que le Maghreb, le Moyen-Orient ou encore l'Inde. Toujours en quête de normes à recréer, l'auteur-compositeur est allé jusqu'à inventer une langue, là aussi hybride entre Orient et Occident (mélange d'anglais et d'arabe), pour décrire un univers fantasmé, comme un idéal de confraternité universelle, mais aussi comme un refuge, à bonne distance des pièges qui menacent habituellement le parcours d'un artiste indépendant dans une exploration des musiques du monde. Niqolah est un musicien que la soif d'aventures sonores n'a pas noyé dans des approximations ou des compromissions. En plaçant durablement sa création dans le champ du rêve, il donne à voir un univers singulier et intime, fait à la fois de son histoire personnelle et d'influences voyageuses. Ces influences, il les intègre dans une démarche systématique originale, plus proche de celle d'un peintre que de celle d'un photographe – observant la diversité des hommes sans jamais les traiter comme des objets de curiosité, mais bien comme des pairs.
29 mai 2020