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Victoria Alexanyan révèlera "Vishap" son nouvel album à l'occasion de sa sortie le 06 février 2026 (digital, CD et vinyle) chez Musiques en balade / InOuïe Distribution. Cet opus sera présenté : le mercredi 18 février 2026 sur la scène du 360 (Paris, 18e) lors d'un concert de lancement exceptionnel et en avant-première lyonnaise le vendredi 30 janvier 2026 à L'Opéra Underground (invitée exceptionnelle : Leïla Martial). Le single  "Désordre nouveau" est déjà disponible sur toutes les plateformes.  Lorsque Victoria Alexanyan a décidé de quitter son Arménie natale pour s’installer en France, elle n’imaginait pas que ce serait un révélateur si puissant de la culture ancestrale qui l’habitait. À travers sa musique, elle n’évoque pas seulement l’histoire tourmentée de l’Arménie, transformant la colère en poésie ; mais également son rapport sensible au monde, épris de liberté et d’universalité. Ses compositions, à la fois intérieures et politiques, sont marquées d’une révolte profonde contre l’injustice qu’elle déclame avec une délicatesse particulière.  Dans son premier album en 5tet : « Vishap » (dragon), elle réveille cette créature mythique et ambigüe qui hante l’imaginaire arménien. Enfoui sous les rochers et les lacs, il est porteur d’une mémoire ancienne et immuable. Vishap devient alors un chant, une incantation portée par les vents des montagnes arméniennes. La musique serpente entre mystère et éclats, imprégnée d’une énergie féminine et rebelle. Métriques complexes, improvisations et influences modales s’entrelacent, donnant naissance à un univers sonore indomptable, à l’image du dragon. Line-up : Victoria Alexanyan : chant, composition Amin Al Aiedy : oud, nay, co-composition Vincent Forestier : piano, co-composition Yann Phayphet : contrebasse Matheo Ciesla : batterie, choeur   Biographie Victoria Alexanyan Née en 1995 en Arménie, diplômée du Conservatoire d'État d’Erevan, elle a été initiée au jazz par le pianiste Vahagn Hayrapetyan, mentor de Tigran Hamasyan. Passionnée de la langue et de la musique française, elle s’installe en 2018 en France pour poursuivre ses études au Conservatoire de Lyon. Là, elle s'immerge dans divers projets artistiques, allant du jazz à la chanson française, sans oublier la musique traditionnelle arménienne. Victoria crée son propre projet en 2020. Ce projet est accueilli chaleureusement dans plusieurs festivals, menant à une première tournée en Arménie en 2022. En 2023, Victoria remporte le 2e prix du concours Crest Jazz Vocal. Début 2025 elle obtient la bourse de compagnonnage de l’Adami et Jazz Sous Les Pommiers, qui lui permet d’être accompagnée par la vocaliste Leïla Martial. Cette rencontre ouvre une nouvelle page dans sa vie artistique. En septembre 2025, Victoria est lauréate de Women in Jazz sélectionnée par Anne Paceo, Les Gémeaux (Scène Nationale) & Jazz Sous Les Pommiers. Parallèlement à la musique, Victoria nourrit sa passion pour le théâtre. Elle se forme à l’École de la Respiration Sandra-Romond à Paris. Aujourd'hui, elle collabore à « T.A.M.A. Paris » et au Cours Myriade à Lyon, où elle écrit et met en scène sa première pièce de théâtre, « Le monde s’est bouché les oreilles ».

La Cumbia Chicharra révèlera "Quinto Mundo" son cinquième album, à l'occasion de sa sortie le 12 décembre 2025 (digital, CD et vinyle) chez Music Box Publishing / L'Autre Distribution. Cet opus sera présenté le vendredi 09 janvier 2026 sur la scène du Studio de L'Ermitage (Paris, 20e) lors d'un concert de lancement exceptionnel avec DJ Amazonita et en avant-première marseillaise le jeudi 13 novembre 2025 au Makeda avec Chu chi cha en 1ʳᵉ partie. Le single  "Sueño de Domingo" - déjà disponible sur toutes les plateformes - est accompagné d'un clip disponible sur Youtube. La Cumbia Chicharra (France/ Chili) propage avec ferveur la cumbia à sa façon : puissante, aventureuse, sensible et partageuse. Elle danse avec beaucoup de styles : cumbia et traditionnels sud américains, plena, afrobeat, dub, funk, hip hop, balkan, electro... La fusion devient une réjouissante fusée, quand une bonne dose de cumbia lui donne son équilibre et sa pulsation. La bande de 8 musicienn•ne•s est devenue en 5 albums une des familles prépondérantes des musiques afro-latines en Europe. La Cumbia Chicharra est composé de : Pati Gajardo : chant Romain Davidico : chant, trombone César Bouteau : congas, tumba, tambor alegre Olivier Boyer : chant, guira, campanas, shekere, cymbales Maxime Marachélian : batterie, timbales Benjamin Charras : basse, guitare Sébastien Ruiz Levy : bugle, cornet François Escojido : claviers, accordéon  Après plus de 15 années passées entre scènes et studio, la Cumbia Chicharra présente en cet automne 2025 son cinquième album Quinto Mundo. Ses 8 musicien•ne•s forment une équipe fidèle qui s’offre le luxe de jouer ce qui lui plaît, ce qui leur plaît, ici et maintenant. Enregistré sans artifices près de Marseille, interprété en prises directes, mixé sur place en collectif et grâce aux magiciens du Studio K, ce disque rassemble huit nouvelles compositions et une version transée de la célèbre « Tonada de luna llena » de Simon Diaz. Quinto Mundo, c’est un cinquième monde, une planète musicale que la Cumbia Chicharra a voulu invoquer, maelstrom de tant de styles, de tant d’influences internes et externes. Un monde aux lisières du rêve (Sueño de domingo, Yacumama), traversé de poésie et de contemplation (Tonada de luna llena). Quinto Mundo, c’est un espace commun, tissé d’interactions et de petits pas (El gusto, Lunatica, Le train de Toulouse), avec en filigranes les luttes et la détermination (El estallido), l’amour en mouvement (Esa manera, La chica que no te deja dormir). Dans ce cinquième monde musical, il est naturel d’entendre émerger, dans une vague de tambours ternaires colombiens une entêtante sonorité de synthé oriental (Tonada de luna llena), ou d’éprouver comment l’afrobeat résonne jusqu’aux barricades du Chili (El estallido), comment une cumbia d’accordéon en hommages aux maestros et maestras colombiennes (El gusto) peut restituer le goût des rues de Marseille, ou comment un chachacha psychédelique (La chica que no te deja dormir) peut nous emmener aux frontières de la Jamaïque et du délire... « Viejo me voy, ya te quiero tanto » (Lunatica), ne jamais s’asseoir, rester en mouvement, la Cumbia Chicharra ne peut agir autrement. Quinto Mundo : une planète qui danse, un monde qui résout ses paradoxes, et qui enfin s’embrasse en une grande famille de sonorités, voici ce qu’à voulu offrir la Cumbia Chicharra dans son 5e album.

Jérémy Rollando révèlera "Zef" , son deuxième album, à l'occasion de sa sortie digitale le 09 janvier 2026 et en CD le 06 février 2026 chez Label Montgolfière / InOuïe Distribution. Cet opus sera présenté le jeudi 05 février 2026 sur la scène du Café de la Danse (Paris, 11e) lors d'un concert de lancement exceptionnel. Le single "Ben Armor", premier extrait de cet album, est disponible depuis le 24 octobre 2025 sur toutes les plateformes. "Ce deuxième album marque une étape de maturation artistique, mais aussi un véritable projet de structuration professionnelle. Il s’inscrit dans la continuité de mon travail avec mon équipage - Pascal Rollando, Jean-Luc Amestoy, Emmanuel Forster - tout en s’ouvrant à de nouveaux univers, avec la participation de précieux invité(e)s : Bernardo Sandoval, Serge Lopez, Cuarteto Tafi, Pablo Fagundes, Guillaume Lopez, et le quatuor à cordes Les Impromptueuses." (Jérémy Rollando) Sur ce nouvel album, Jérémy Rollando (guitares, composition, arrangements, réalisation, direction artistique) est accompagné de : Pascal Rollando : percussions, prises de son, réalisation Jean-Luc Amestoy : piano, accordéon Emmanuel Forster : contrebasse Et ses invités : Bernardo Sandoval (voix) ; Gabriel Sandoval (texte : "La Victoria") ; Serge Lopez (guitares) ; Elsa Lopez, Luce Lopez, Victoria (voix : "Tio Sergio") ; Estelle Besingrand, Camille Antona, Édith Feytel (Trio cordes : "Tabarly" et "Zef") ; Guillaume Lopez (flûtes et voix : "Désert Bleu" et "Tabarly") ; Leo (voix), Ludo (bouzouki), Mateito (oud), Fred (voix) du Cuarteto Tafi : "Tafi" ; José Montealegre, Victoria, Famille Lopez (voix : "Premier Souffle") ; Pablo Fagundes (harmonica : "Dernière Balade ?") ; Choeurs d'ami(e)s : "L'Amandier". Originaire de la région toulousaine, Jérémy Rollando est un guitariste et compositeur singulier, nourri dès l’enfance par un riche héritage musical. Fils du percussionniste Pascal Rollando, il grandit au contact d’artistes comme Bernardo Sandoval, Serge Lopez, Renaud Garcia Fons ou Kiko Ruiz, figures emblématiques des musiques du monde et du flamenco. Très tôt attiré par la guitare, Jérémy développe un jeu personnel, alliant fougue et délicatesse. Autodidacte, il affine son langage musical en intégrant en 2014 le cycle professionnel de l’école Music’Halle à Toulouse. Il y fonde le groupe Terranga, avec lequel il sort l’album Couleurs Nomades (2017). Artiste curieux et généreux, il multiplie les collaborations et enregistrements aux côtés d’Agnès Jaoui, Francis Cabrel, Jean-Pierre Mader & Richard Seff, Naima Chemoul, Sylvain Cazalbou Alsina, ou encore au sein du label Baboo Music (Aurélie Cabrel, Esthen Dehut). Il intervient également comme arrangeur et guitariste sur de nombreux projets mêlant chanson, jazz, musiques latines ou traditionnelles. En 2022, il reçoit le Prix Nougaro – Région Occitanie dans la catégorie Musique instrumentale pour sa pièce "Altitude". En mars 2023, il publie son premier album en son nom, La Montgolfière, un univers sensible et voyageur, mêlant jazz, flamenco, musique classique et influences méditerranéennes. Il s’entoure d’un trio de musiciens incontournable de la scène Toulousaine : Jean-Luc Amestoy (accordéon, piano), Pascal Rollando (percussions) et Emmanuel Forster (contrebasse). Son nouvel album, ZEF, prolonge cette aventure musicale. En plus de son fidèle équipage, il invite des artistes prestigieux : Bernardo Sandoval, Serge Lopez, Cuarteto Tafi, Guillaume Lopez, Pablo Fagundes et le quatuor à cordes Les Impromptueuses.

Le groupe réunionnais Saodaj révèlera "Lodèr la vi" son 2e album, à l'occasion de sa sortie le 07 novembre 2025 chez Buda Musique / Socadisc. Saodaj, c’est l’image d’un pays pluriel, vaste, infini : La Réunion. « Une musique amoureuse du Maloya, émancipée et vagabonde. En créole, en français, leurs textes s’élèvent et s’indignent, cherchant la beauté dans la noirceur du monde. Saodaj trace sa route depuis une décennie entre tradition et modernité, là où le rock alternatif des cordes saturées fait corps avec les polyrythmies percussives. » Le groupe sera en tournée (Wax Booking) en Europe cet automne aux dates suivantes : - 20/11 : Concert Rocher de Palmer, Cenon (33) - 21/11 : Art’Cade, Sainte-Croix-Volvestre (09) - 22/11 : Atelier du Néez, Jurançon (64) - 23/11 : La Grotte, Limousis (11) - 26/11 : Cave aux Poètes, Roubaix (59) - 27/11 : Le Tamanoir, Gennevilliers (92) - 28/11 : The Faculty, Anderlecht (BE) - 29/11 : Cave à Musique, Mâcon (71) - 04/12 : La Luciole, Alençon (61) - 05/12 : Espace Brassens, Mantes-la-Jolie (78) - 06/12 : Gueulard Plus, Nilvange (57) Saodaj est composé de : - Marie LANFROY - Chant, Bobr', Kayamb, Tarlon - Jonathan ITÉMA - Chant, Roulèr, Sati-pikèr, Bobr, Morlon, Triangle - Mélanie BADAL - Violoncelle, Chant - Frederick CIPRIANO - Sati-pikèr, Triangle, Kayamb - Blaise CADENET - Guitare, Percussions - Zélito DELIRON - Percussions, Flûte ethnique, Roulèr, Chant - Olivier DIGUET dit Peak - Régisseur son Une musique amoureuse du Maloya, émancipée et vagabonde. En créole, en français, leurs textes s’élèvent et s’indignent, cherchant la beauté dans la noirceur du monde. Saodaj trace sa route depuis une décennie entre tradition et modernité, là où le rock alternatif des cordes saturées fait corps avec les polyrythmies percussives. A travers l’album « Lodèr la vi » (Parfum de la vie) le groupe ose de nouveaux paysages sonores. Une ode aux naissances qui nous métamorphosent, aux voyages hors des sentiers battus, à nos vivants et nos morts, l’amour toujours en ligne de mire. Saodaj incarne une musique actuelle et engagée, qui fusionne avec élégance les éléments de la modernité et les racines profondes des traditions. À travers leur art, Marie Lanfroy, Jonathan Itéma et leur groupe offrent une interprétation unique du monde. Saodaj continue de charmer et de sensibiliser avec une musique qui touche à l’âme, rappelant à chacun l’importance de nos racines tout en embrassant le changement et l’évolution.

Le Vent du Nord, quintette québécois de renommée internationale, vient de finaliser avec succès sa tournée spéciale 20e anniversaire et est de retour avec son 13e album "Voisinages" qui sortira le 10/10/2025 en digital (Monde) et le 31/10/2025 en CD (France) chez La Compagnie du Nord / Absilone / Socadisc. L'album "Voisinages" est en pré-commande sur toutes les plate-formes. Leur 1er single / clip "Sur le pont" est d'ores et déjà disponible. Ce nouvel opus aborde le thème des voisinages. Les voisinages et métissages des musiques traditionnelles qui ont enrichi le répertoire du Québec : l’irlandais l’écossais, le folk américain, autant que les chants de l’Acadie et des francophones d’Amérique. Les 12 pièces de l’album sont aussi inspirées par le pays, ses rivières, ses histoires de guerre, de paix, de souffrances et d’espoir autant que d’amours et d’amitiés. Une invitation à découvrir un monde d’humanités ! Le Vent du Nord groupe de création, de Chanson francophone et Musiques du monde est composé de : - André (Dédé) Gagné : voix, bouzouki et guitare - Nicolas Boulerice : voix, piano, vielle à roue et clochettes - André Brunet : violon, pieds et voix - Réjean Brunet : basse, accordéon diatonique, piano, bombarde et voix - Olivier Demers : violon, pieds, mandoline, guitare, tom basse, grosse caisse et voix Avec la sortie de son 13e album, intitulé Voisinages et disponible le 10 octobre prochain, Le Vent du Nord aborde le thème des voisinages, sources d’inspirations universelles. Notamment, des voisinages musicaux, qui enrichissent son répertoire depuis toujours : ceux des Irlandais, des Écossais, des Américains ou des Acadiens, pour ne nommer que ceux-là. Ce sont aussi les voisinages avec nos rivières et nos fleuves, témoins de l’histoire : les batailles gagnées ou perdues, les abus, les pertes, les amitiés et, surtout, les amours. « À travers tout l’album, on voulait bien sûr décliner l’idée du voisinage sur tous les angles, mais on l’a aussi pensé comme un appel à l’ouverture et à la réconciliation. C’est une invitation à créer des voisinages heureux », explique Nicolas Boulerice. « On avait commencé ce mouvement sur Territoires, aujourd’hui, on se centre davantage sur les humains qui les habitent ». Si 20 Printemps se voulait un album placé sous le signe de la fête et de la joie, pour Voisinages, le groupe s’est permis quelques ballades mélancoliques. « On y retrouve aussi des chansons plus littéraires, tout en gardant un pied dans la tradition. Avec l’arrivée d’André Gagné, qui a un jeu et une voix bien à lui, cela nous a amenés ailleurs et ça nous a donné le goût d’essayer des choses, de nous lancer des défis. Résultat : on est particulièrement fiers de cet album, qui s’est créé dans le bonheur de la création, renouvelé, même après 23 ans de tournées », ajoute Nicolas Boulerice.

Fabienne Magnant révèlera "Cordas Sensíveis / Cordes Sensibles", son cinquième album, à l'occasion de sa sortie CD le 07 novembre 2025 chez Guit'Art Productions / Music Box Publishing / InOuïe Distribution. Cet opus sera présenté le jeudi 04 décemgre 2025 sur la scène des 2 Pianos (Paris, 15e) lors d'un concert de lancement exceptionnel. " Ce cinquième opus est un témoignage de plusieurs années de pérégrinations et inspirations artistiques. Je joue une nouvelle fois sur mes trois guitares (guitare classique/brésilienne, flamenca et viola caipira) comme dans mon album précédent La Trinidad (2011), mais cette fois en solo ou avec d’autres musiciens du duo au quatuor. Les pièces proposées sont des chefs d’œuvres du répertoire classique, flamenco en soliste, des arrangements de joyaux de la musique populaire brésilienne sur ma viola caïpira et des compositions personnelles avec mes guitares entourées à la fois de percussions, de la basse et la contrebasse, du rabeca, de la clarinette basse ou d’une voix poétique. Ce melting-pot, reflet de mes passions musicales multiples, laisse largement la place au partage avec d’autres artistes musiciens ou poètes mais n’en n’oublie pas pour autant l’intimité que peut offrir le solo instrumental qui m’est cher. Espérons que cet album “Cordes Sensibles” permettra de rassembler des auditeurs de sensibilités différentes autour d’une même voix : celle de la musique ! " Fabienne Magnant Sur ce nouvel album, Fabienne Magnant (guitare classique/brésilienne, flamenca et viola caipira) est accompagnée de : - Dominique Muzeau : basse et basse électro acoustique - Akiko Horii : percussions - Samuel Thézé : clarinette basse - François Kokelaere : percussions, voix, poésies - Consuelo De Paula : chant voix et poésies - Ricardo Vignini : viola caïpira - Andre Rass : percussions - Pedro Macedo : contrebasse - Bruno Menegatti : rabeca Fabienne Magnant est une guitariste, compositrice et pédagogue française, passionnée par la guitare classique depuis son enfance. Formée auprès de grands maîtres comme Olivier Chassain et Roland Dyens, elle se distingue par une carrière internationale marquée par une exploration musicale diverse. À 25 ans, après avoir obtenu ses diplômes de conservatoire, elle part au Brésil où elle rencontre des musiciens influents, notamment le guitariste Baden Powell. Ce séjour la pousse à composer et à explorer de nouveaux horizons musicaux. Ses albums, tels que Le sens des sens (2003) sont le fruit de ses voyages et influences, en particulier le Nordeste brésilien; elle devient une figure de la musique brésilienne avec son instrument de prédilection, la viola caïpira. Sa curiosité musicale l'amène également à explorer la guitare flamenca en Andalousie, et à intégrer cette influence dans ses œuvres. Fabienne Magnant a publié cinq albums, dont “La Trinidad” en 2011, et son nouvel opus sorti sur toutes les plates-formes depuis mai 2025 “Cordas sensiveis/Cordes Sensibles” chez Music Box Publishing, et chez InOuie Distribution à partir du 7 novembre 2025 en ventes physiques. Elle est régulièrement saluée par la presse spécialisée. En 2018 puis 2019, elle figure dans le top 10 des musiciens brésiliens traditionnels selon un journal de São Paulo “ Sertaopaulistano”. Elle enseigne les guitares classique et latines (Professeur d’Enseignement Artistique titulaire Hors Classe) au Conservatoire à Rayonnement Départemental d’Evry et se produit régulièrement en concert en Europe et au Brésil. Ses compositions sont éditées par Les Productions d'Oz (partitions) et Music Box Publishing (dans le catalogue de musiques de films et documentaires). Elle collabore avec de nombreux artistes de renom (Zé Luis Nascimento, Maria Inès Guimarães, Akiko Horii, François Kokelaere, Consuelo de Paula, Ricardo VIgnini, Andre Rass, Pedro Macedo...)

The Sound of Paros révèlera "Spacetime" son nouvel album, à l'occasion de sa sortie le 07/11/2025 (digital et CD) et le 28/11/2025 (vinyle) chez Arts Culture Europe / InOuïe Distribution. Le 2e single "My Foolish Heart " feat. Franco Ambrosetti et Nefeli Fasouli sera disponible le 19/09/2025 sur toutes les plateformes. Le 1er single "Soul, Wake Up" feat. Nefeli Fasouli est d'ores et déjà disponible. En avril 2025, un groupe de musiciens, photographes, graphistes et artistes visuels s’est réuni au White Pebbles Studio, à Paros, pour donner vie à un projet musical imaginé de longue date. Le résultat : SPACETIME, un voyage musical entre cultures et générations, inspiré par l’île et ancré dans le jazz, la musique électronique, les sonorités méditerranéennes et la poésie. The Sound of Paros est composé de : - Marc Buronfosse : Fender VI, contrebasse - Ferruccio Gadani : congas - Arnaud Ginioux : basse électrique - Panagiotis Kostopoulos : batterie - Yiannis Papadopoulos : piano - Stavros Manthos : saxophone alto Invités spéciaux : - Franco Ambrosetti : bugle - Nefeli Fasouli : chant - Kimon Xigkis : qanoun - Jean-Philippe Carlot : poésie SPACETIME – Une Rencontre Musicale au-delà des Frontières L’île lumineuse de Paros, nichée au cœur de la mer Égée, inspire l’imagination des artistes depuis l’Antiquité. Tous les musiciens, invités spéciaux et créateurs visuels réunis autour de The Sound of Paros partagent une appréciation commune de la beauté sereine des Cyclades — un lieu où l’espace et le temps semblent s’élargir et se fondre en une seule dimension : SPACETIME. Le projet est né d’une conversation entre musiciens et créateurs qui, au fil des années, s’étaient croisés lors de diverses performances et rencontres artistiques sur l’île de Paros. En avril 2025, un groupe de musiciens, photographes, graphistes et artistes visuels s’est réuni au White Pebbles Studio, à Paros, pour donner vie à un projet musical imaginé de longue date. Le résultat : SPACETIME, un voyage musical entre cultures et générations, inspiré par l’île et ancré dans le jazz, la musique électronique, les sonorités méditerranéennes et la poésie. La base sonore de l’album repose sur la guitare Fender VI (Marc Buronfosse), entourée du piano électrique Fender Rhodes (Yiannis Papadopoulos), de la basse électrique (Arnaud Ginioux), du saxophone (Stavros Manthos), de la batterie (Panagiotis Kostopoulos) et des percussions (Ferruccio Gadani). S’y ajoutent les contributions essentielles de nos invités spéciaux : la légende du jazz Franco Ambrosetti au bugle, Nefeli Fasouli au chant, Kimon Xygkis au qanoun, et Jean-Philippe Carlot à la poésie — le tout tissé dans une dynamique de jeu en direct et d’arrangements intuitifs. Une célébration vibrante de l’unité dans la diversité.

Gabriel Lenoir révèlera "Tournivelle", le deuxième album du groupe La Cuivraille, à l'occasion de sa sortie le 21 novembre 2025 chez Les Beaux Jours / InOuïe Distribution. Cet opus sera présenté le jeudi 11 décembre 2025 sur la scène du 360 Paris Music Factory (Paris, 18e) lors d'un concert / bal de lancement exceptionnel. Dix ans après leur premier album, La Cuivraille revient avec "Tournivelle", un disque qui célèbre le bal traditionnel tout en l’inscrivant pleinement dans notre époque. Un album festif, poétique et généreux, pensé pour la danse et l’écoute. Créé en 2014 par Gabriel Lenoir, “violoneux-violoniste”, professionnel depuis 2002 (avec plus de 15 albums à son actif), La Cuivraille est un groupe qui mêle avec singularité les sonorités des musiques traditionnelles françaises aux énergies et aux textures des musiques actuelles (groove, funk, reggae...). À travers un savant mélange de violon, voix, section de cuivres (trompette, trombone, saxophone), basse électrique et percussions, le groupe propose un son moderne, vivant et accessible, à la fois enraciné et résolument tourné vers la création. La Cuivraille est composé de : - Gabriel Lenoir : compositions, violon, chant - Maké Knockaert : trompette, bugle, chant - Florian Laihem : saxophone alto, chant - Constant Sajaloli : trombone, chant - Louis Descamps : basse, contrebasse, chant - Nicolas Painset : percussions, chant Artiste invitée : - Prune Lacante : violon (titre 13) Un regard critique sur Tournivelle, par Etienne Bours, journaliste spécialisé dans les musiques du monde : “Chaque album de Gabriel Lenoir est un nouveau voyage. Entendons-nous, il n’est pas question de prendre l’avion, de jouer le soi-disant exotisme, le all inclusive et que sais-je encore. Que nenni ! On se promène, on musarde, on vagabonde, on hume, on visite les coins et recoins des régions de chez nous, voire juste un peu plus loin que chez nous. Souvenez-vous des semences. Toutes les semences... pas celles que quelques multinationales mal intentionnées (ça ressemble à un pléonasme) tentent de vous imposer au détriment des richesses incroyables de la diversité de plantes, légumes ou fleurs disponibles aux quatre coins de nos campagnes. Toutes les semences, toutes les fragrances, les goûts, les saveurs de nos ruralités, de nos terroirs, de nos cultures. Gabriel Lenoir est de ces jardiniers amateurs de graines que l’on pensait oubliées, il ose les semis, les boutures, les associations. Sans prétention mais avec la passion du cultivateur intelligent qui a compris ce que glaner apporte à son jardin. Lorsqu’on prend la peine de se pencher sur son répertoire – ses répertoires sans doute vu le nombre de groupes et de projets auxquels il participe – on y retrouve les traces de plusieurs générations. Ceux qui détenaient encore les anciennes semences et les semaient avec régularité, ceux qui sont allés à leur rencontre pour voir, apprendre et transmettre à leur tour, ceux qui aujourd’hui encore reçoivent ce legs, le propage en le réinventant, en essayant d’autres combinaisons, d’autres alternances. Sans pour autant oublier d’où vient ce trésor de la simplicité, trésor qui, dans ce cas, fait danser les gens en instillant chez eux autant de plaisir qu’un fruit juteux ou un vin gouleyant. C’est le talent de Gabriel, quel que soit le groupe qu’il anime, il joue sur un patrimoine énorme dont il a compris la richesse. Et, dans ce nouveau disque de son groupe La Cuivraille, il s’impose comme une individualité forte au sein d’une communauté forte. Communauté esquissée ci-dessus et partagée entre ceux qui ont donné accès libre aux musiques ancrées dans les traditions et ceux qui, à l’instar de Gabriel, ont compris le subtil mélange de responsabilité et de liberté qu’offre un tel héritage. Revoici donc son violon et sa voix avec basse, percussions et une section de cuivres. Ils ne sont pas nombreux ceux qui ont osé « cuivrer » ce type de répertoire." (...)

Radio Tarifa le groupe franco-espagnol nominé à plusieurs prix de la BBC et des Latin Grammy Awards, révèlera "La noche" son tant attendu 5e album, à l'occasion de sa sortie le 26 septembre 2025 chez Buda Musique / Socadisc. Radio Tarifa est composé de : - Faín Sánchez Dueñas : production et direction musicale, arrangements, guitare électrique, guitare, basse, percussions, orgue, guimbri, banjo, buzuki, palmas, koto, voix, composition et paroles - Vincent Molino : vents (ney, arghoul, bawu, cromorne, hautbois du Poitou), claviers, piano, voix, composition et paroles. La voix et les paroles du titre 1 (La noche) sont de Benjamín Escoriza. Et leurs Invités : - Aziz Zahriou : violons (titre 1) - Javier Castrillón : voix (titres 2, 3, 9) - Eliseo Parra : voix (titre 4) - Blanca Paloma : voix (titres 6, 10), choeurs (titre 6) - Hames Bitar : oud (titre 6) - Jouad Ibiks : violon, alto (titre 6) - Wafir Sheik : violon, accordéon (titre 6) - Jose Juan Martinez : basse (titre 6) - José González "Andama" : voix (titres 7, 8) - Chris White : violoncelle (titre 7) - Merche Trujillo : cornemuse (titre 10) - Juan Miguel Cabral : composition et paroles, voix, guitare, basse, guimbri (titre 11) - Mizuki Wildenhahn : voix (titre 12) - Ramiro Amusategui : oud (titre 13) - Aída Brandes-Hargrove : composition, piano, percussions, violoncelle, cordes, Pad Thai (titre 14) Voici donc le nouvel album du groupe Radio Tarifa, silencieux depuis le décès de l’un de ses co-fondateurs, Benjamin Escoriza. Radio Tarifa est né à Madrid de la rencontre de trois musiciens : Faín Sánchez Dueñas(Valladolid), Vincent Molino (Montpellier) et Benjamín Escoriza (Grenade). Faín et Vincent se sont rencontrés en 1985 alors qu'ils jouaient dans un groupe de musique médiévale. Ils partageaient également un intérêt pour la musique arabe et méditerranéenne. Plus tard, ils rencontrent Benjamín dont ils apprécient la voix, la présence sur scène et un sens poétique particulier dans l’écriture des textes de chansons. Dans la lignée habituelle de Radio Tarifa : neuf chansons traditionnelles et cinq chansons originales. Comme d'habitude, Faín a assuré la production et la plupart des arrangements musicaux. Cette fois, en l'absence de Benjamín Escoriza, huit autres chanteurs ont participé à l’enregistrement, qui comprend aussi le thème “La Noche”, chanté par Benjamín, sur un texte écrit par lui dans un enregistrement de 2004 Les influences sont multiples : rock, flamenco, polyphonie médiévale, castillane, grecque, bretonne, japonaise et autres folklores.

Balkan Taksim le duo explosif des Balkans, révèlera "Acide balkanique" son deuxième album, à l'occasion de sa sortie le 19 septembre 2025 chez Buda Musique / Socadisc. Tout en s’interrogeant constamment sur son obsession pour les Balkans, cette région quasi mythique qui a connu tant de souffrances, mais qui a aussi apporté tant de beauté au monde, le groupe poursuit ici un voyage musical à travers des endroits réels et imaginaires. Cet album contient huit titres, certains sont des morceaux purement instrumentaux, d’autres sont des chansons interprétées en roumain et en serbo-croate. Balkan Taksim est composé de : - Sașa-Liviu Stoianovici : tanbur ottoman, électro-saz, tamburitza, synthétiseurs, theremin, cobza, guimbarde, voix, mix - Alin Zãbrãuțeanu : basse électrique, synthétiseurs, sampling, mix Les deux chansons traditionnelles enregistrées ici viennent pour l’une du nord-est de la Roumanie (titre n° 3) et pour l’autre de Turquie, mais passée par le prisme de l’ex-Yougoslavie, plus précisément la Bosnie (titre n° 8). Fidèle à ses racines musicales et à ses expériences personnelles, le groupe joue de plusieurs instruments à cordes traditionnels : le tanbur ottoman classique se mêle au luth folklorique roumain – la cobza – et, entre les deux, on peut entendre les voix de deux membres de la famille des tamburica (luths à long manche), le prim et le dangubica (appelé également samica). Comme à son habitude, le groupe utilise ces sons traditionnels parfois filtrés et distordus. En guise de signature sonore, Balkan Taksim incorpore les textures acides de l’électro-saz turc saturé, une de leurs sonorités préférées. On y croise également des lignes de guitare basse, des synthétiseurs analogiques et numériques, du thérémine et divers échantillonnages ethniques. D’autres éléments sonores, tels que des bruits électroniques et des craquements apportent une touche post-industrielle à l’ensemble. Tous ces moyens techniques sont mis en œuvre pour créer un espace à la fois brut et réel, mais aussi onirique. Dans cet album, l’auditeur retrouvera des éléments à la fois imaginaires et authentiques propres à la culture populaire des Balkans et des Carpates, entremêlés à des mélodies d’inspiration ottomane ainsi qu’à des citations de musique populaire urbaine occidentale de ces dernières années. Acide balkanique est le fruit d’une rencontre hypnotique entre plusieurs espaces géographiques et culturels : interprétées par les sons électroniques contemporains, les voix des musiciens paysans des Carpates rencontrent les mélodies rythmées des troubadours des Balkans, dans une véritable quête d’unité.  

Gaëlle Bagot & Juan Manuel Nieto révèleront Jardin d'ailleurs, leur nouvel album, à l'occasion de sa sortie le 03 octobre 2025 chez MusiqueLive / InOuïe Distribution. Cet opus sera présenté  le mercredi 05 novembre 2025 sur la scène des 2 Pianos (Paris, 15e) lors d'un concert de lancement exceptionnel.  Fruit d'un travail axé sur l'improvisation et l'oralité, ce premier album compte neuf compositions originales, interprétées par Gaëlle Bagot à la voix lead et aux clarinettes — si bémol, mi bémol, basse — et Juan Manuel Nieto au piano et à la voix. Sur trois morceaux, deux invités viennent apporter au duo leur goût pour l'expérimentation et l'hybridation : le violoncelliste Simon Lannoy, en constante recherche d'exploration sonore et le beatboxer Oxyjinn, artiste explorateur vocal. Jardin d’ailleurs évoque un voyage sonore intime et poétique, à la croisée des chemins entre jazz, musique du monde et chanson et mêle le souffle nomade de la clarinette, une voix claire et expressive, et un piano aux harmonies pop ou jazz. L’album navigue entre rythmes du monde, mélodies chantées et improvisations, comme un carnet de voyage musical aux accents chaleureux et vivants. En quête d'élans aériens et d'arpentages croisés, ces deux musiciens nouent leur complicité autour de l’art du duo et dévoilent des compositions qui invitent au voyage par-delà les frontières. Gaëlle Bagot, clarinettiste et chanteuse française, et Juan Manuel Nieto, pianiste équatorien, se rencontrent en 2017 au sein du cursus « Jazz, musiques improvisées & musiques traditionnelles » du Pôle Sup’ 93, formation supérieure qui leur permet de se perfectionner auprès d'artistes de renom tels que Vincent Ségal, Magic Malik, Julien Lourau, Bojan Z ou encore François Jeanneau. Pendant trois années, ils enrichissent leurs univers respectifs, fusionnant influences et apprentissages. Leur diplôme obtenu, portés par le soutien du violoncelliste Vincent Ségal, Gaëlle et Juan choisissent en 2020 de former un duo minimaliste, piano et clarinette/voix. Leurs premiers arrangements sont des reprises de morceaux et de chansons de cultures d’ici et d’ailleurs. Très vite, la création originale prend le pas. Leurs compositions originales, créées à deux, explorent un langage mélodique riche en polyrythmies, ornements, unissons, modes de jeux variés ; elles sont nourries par leur curiosité musicale éclectique : folk, jazz, salsa, chanson française, musique équatorienne, brésilienne et argentine, musiques bretonnes/irlandaises, musiques balkaniques, maloya,... Depuis 2021, le duo se produit en concert, notamment au Festival Saint-Denis, au Festival Jazz in Noyon, au Sunset-Sunside et à La Bellevilloise à Paris.

L'auteur-compositeur Matjé vient de révéler son nouveau single "Mal à la mer" le 11 juin 2025 chez Label d'à Côté / Wiseband, en collaboration avec, entre autres : Guiz de Tryo, Renaud, Les Ogres de Barback, Guillaume Meurice, Alee & Mourad de La Rue Kétanou, Didier Wampas, Lamya Essemlali (Présidente de See Shepherd France), Mariaa Siga, Fred de Karpatt, Gérome de MAGO, Eyo 'Nlé et Karimouche... Le journal Fakir s'est associé au projet en contribuant au financement du clip, réalisé par Cécilien Djérad. Début juin, arrêtez tout et sortez les cirés jaunes ! « Mal à la mer », c’est bien plus qu’un single : c’est une barricade musicale contre le saccage des océans. Entre chanson française rageuse, hip-hop et rythmes afro-latins, Matjé nous a concocté un titre à danser mais aussi à manifester. Le tout en soutien à l’ONG Sea Shepherd France. Sea Shepherd ? Ce sont ces romantiques qui défendent la vie dans les océans et vont au bout du monde défier les baleiniers. Paul Watson, son fondateur, s’est fait emprisonner au Danemark fin 2024. Réponse immédiate : 76 artistes envoient des messages de soutien sur les réseaux de Sea Shepherd Breizh suite à un appel de Guiz (Tryo) et Kévin Houget à la manœuvre. Parmi eux, Matjé balance une minute de chanson puis invite, avec Kévin, d'autres artistes contactés à chanter ses paroles ou prêter leur plume pour la bonne cause. 12 artistes, groupes ou personnalités répondent présents et embarquent pour cette belle aventure... La sortie, qui avait été prévue le 11 juin sur le Label d'à Côté, lors de l’inauguration du Sommet de l'ONU sur les océans, n’est pas un hasard. Pendant que les dirigeants politiques se gargarisent de "développement durable", la chanson leur balance la réalité en face : la mer crève, et c'est maintenant qu'il faut agir. Le clip est sorti le 18 juin quant à lui. Enfin, l’intégralité des bénéfices sera directement reversée à Sea Shepherd France. Ceux qui ont écrit et chanté : - Matjé paroles/musique) - Guiz de Tryo - La Fanfare Eyo’nlé (texte et cuivres) - Gérôme (Mago) et Alee Ceux qui ont chanté : - Renaud - Les Ogres de Barback - Didier Wampas - Guillaume Meurice - Lamya Essemlali (Présidente de Sea Shepherd France) - Fred de Karpatt - Karimouche - Mourad de La Rue Kétanou - Mariaa Siga Une bonne partie des voix a été enregistrée au studio breton La Chouette à Quebriac (35).