Le groupe Balimaya révèlera son dernier album éponyme sur la scène du Studio de L’Ermitage, à l’occasion d’un concert exceptionnel le vendredi 9 septembre 2022 à 20h30. Cet opus est sorti chez Buda Musique / Socadisc le 8 novembre 2019.
Le groupe est composé de :
– Julien André : compositions, arrangements, djembé, batterie
– Ibrahima Diabaté : dundun, n’goni, tama
– Boris Blanchet : saxophones
– Vincent Limouzin : vibraphone, marimba
– Felipe Cabrera : basse
– Ibrahima Diabaté : dundun, n’goni, tama
– Boris Blanchet : saxophones
– Vincent Limouzin : vibraphone, marimba
– Felipe Cabrera : basse
BALIMAYA
Dans les langues mandingues d’Afrique de l’Ouest, Balimaya signifie “parenté”, “fraternité”. Une famille au sens large qui s’exprime ici, réunie autour d’un duo de percussionnistes formé par Julien André et Ibrahima Diabaté, mêlant djembé, dundun et batterie. Cette collaboration a débuté en 1994 à Bamako et s’est poursuivie à Paris. Elle a permis de développer une façon de combiner les jeux un peu « tout terrain », dans un éventail allant du style formaté des cérémonies traditionnelles à l’improvisation la plus libre. Inspirée par le jazz et l’improvisation, elle prend aujourd’hui une nouvelle direction. Balimaya se nourrit de rythmes mandingues joués pour la danse. Ils ne sont pas repris dans leur format originel mais demeurent néanmoins une source d’inspiration, pour créer une musique où les voix s’entrecroisent. Basse, saxophone, vibraphone et marimba se joignent à cette famille, dans des compositions pensées comme des jeux, variant grooves, timbres, dynamiques, ouvrant la voie à l’improvisation.
Dans les langues mandingues d’Afrique de l’Ouest, Balimaya signifie “parenté”, “fraternité”. Une famille au sens large qui s’exprime ici, réunie autour d’un duo de percussionnistes formé par Julien André et Ibrahima Diabaté, mêlant djembé, dundun et batterie. Cette collaboration a débuté en 1994 à Bamako et s’est poursuivie à Paris. Elle a permis de développer une façon de combiner les jeux un peu « tout terrain », dans un éventail allant du style formaté des cérémonies traditionnelles à l’improvisation la plus libre. Inspirée par le jazz et l’improvisation, elle prend aujourd’hui une nouvelle direction. Balimaya se nourrit de rythmes mandingues joués pour la danse. Ils ne sont pas repris dans leur format originel mais demeurent néanmoins une source d’inspiration, pour créer une musique où les voix s’entrecroisent. Basse, saxophone, vibraphone et marimba se joignent à cette famille, dans des compositions pensées comme des jeux, variant grooves, timbres, dynamiques, ouvrant la voie à l’improvisation.