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Ariana Vafadari présente « Anahita » sa dernière création musicale, à l’occasion d’une série de concerts estivale :

* le 8 juin à L’ilyade Seyssinet, Seyssinet-Pariset (38)
* les 17, 18 et 20 juin au Festival des Sacrées Journées de Strasbourg, Strasbourg (67) :
  • 17 juin : Cathédrale de Strasbourg
  • 18 juin : Collégiale Saint-Thiébaut, Thann
  • 20 juin : Eglise Saint Vincent de Paul, Strasbourg


Anahita, est une pièce musicale et onirique, composée et interprétée par Ariana Vafadari sur un livret écrit en collaboration avec Leili Anvar. Ariana, mezzo-soprano sera accompagnée sur scène par Julien Carton (piano), Leila Soldevilla (Contrebasse) et Yacir Rami (Oud).

L’enregistrement d’Anahita est paru en CD – Sortie digitale le 6/03, sortie physique le 19/06 (label Quart de Lune / Distribution Idol et UVM).

 

L’HISTOIRE

Une jeune femme rêve du temps où son village était vert, elle se réveille face aux arbres qui meurent et sent son ventre vide. Elle a traversé les déserts et les terres en feu, désespérée elle prie la déesse dont elle porte le nom : Anahita.
Cette divinité iranienne des eaux, de la fécondité, de la sagesse, est celle qui accroît les cours d’eau, les peuples et les vivants. Elle est aussi la guérisseuse et celle qui initie à la sagesse. Mais son culte fut oublié et son visage effacé.
Aussi les eaux se sont-elles retirées chaque jour davantage du lit des rivières et des sources souterraines, transformant le monde fertile et verdoyant en un désert brûlant.
Après un échange mystique avec la déesse, la jeune Anahita part en quête de l’eau d’immortalité, et trouve l’Amour.

Imprégnée dans son enfance par la poésie et la philosophie zoroastrienne transmise par son père, Ariana Vafadari, avait à cœur de faire ressurgir les écrits millénaires de Zarathoustra, réunis dans «L’ Avesta», textes empreints de sagesse et de spiritualité, prônant la lumière et la bonté inhérente à l’homme. A travers ces prières adressées à Anahita, la volonté d’Ariana et Leili est de retrouver la place du féminin dans le monde.

Entourée de musiciens aux origines culturelles et musicales diverses, certains formés à la musique traditionnelle iranienne, marocaine, d’autres au jazz, à la musique classique occidentale, Ariana Vafadari passe librement d’un univers à l’autre.
Les textes sont en persans, en français, en langue Avestique, la langue ancienne des zoroastriens.