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BOWA présente « MVT »

BOWA révèlera " MVT ", son nouvel EP à l'occasion de sa sortie le 26 avril 2024 chez Mélorion / InOuïe Distribution. Le single "Tousel a dé" sera disponible le 5 avril 2024 sur toutes les plateformes. Maher Beauroy transcende les frontières pour offrir une expérience sonore unique, sous le nom captivant de BOWA. En se créant un double chatoyant et super-héroïque, le chanteur et compositeur Maher Beauroy vous dévoile un voyage supersonique vers une île qu’on ne trouve nulle part sur la carte, mais qui sous la surface est reliée à toutes les insularités, toutes les rencontres, tous les rythmes. La musique électro caribéenne de BOWA transpire une virtuosité corrosive avec des mélodies imparables. Maher Beauroy prouve avec ce projet qu’il sait s’épanouir sur d’autres terrains de jeux que celui du jazz instrumental. Présentation de MVT : BOWA, originaire de la Martinique, annonce avec émotion le lancement de son EP « MVT ». Composé de 5 titres captivants, cet opus fusionne avec brio les influences de la musique caribéenne, de la pop et de l'électro, offrant une expérience musicale novatrice qui explore le déclin d'un amour avec une profondeur personnelle. Précédé des singles «20 Ans » et « Tousel A Dé », l’EP « MVT » élève encore davantage le niveau. BOWA propose une collection de morceaux soigneusement élaborés qui plongent les auditeurs dans une odyssée sonore unique. Le titre « MVT » est l'abréviation de l'expression créole « Mové Tan », signifiant en français « Mauvais Temps ». Pour BOWA, ce « Mauvais Temps » symbolise le déclin émotionnel de sa plus grande histoire d'amour. En tant qu'artiste martiniquais, il infuse sa musique de son vécu, fusionnant les rythmes envoûtants de la musique caribéenne avec des éléments de pop et d'électro. Les chansons de BOWA s’inscrivent dans un courant qu’il appelle « Futurhizome » : une pop créolisée et rétro-futuriste, qui rejoint en fraternité des artistes tels que David Walters, Delgrès ou encore Major Lazer. Le Futurhizome, initié par BOWA, s’inspire du réel antillais et célèbre la « relation », au sens où l’avait défini l’écrivain et poète martiniquais Édouard Glissant, père de la « Pensée Rhizome » et du « Tout-Monde ». Le Futurhizome, c’est la promesse de tous les possibles et de toutes les conversations (entre les styles, les personnes et les époques), et un vers un futur où les identités multiples permettraient de « changer en échangeant ». LES MOTS DE L’ARTISTE « BOWA est pour moi le moyen de renouer avec mes premiers amours musicaux : la chanson et la pop music. Sortir de cette zone jazz, que je connais bien, fut un challenge enrichissant. Je suis heureux de vous dévoiler une nouvelle facette de ma musique. Tout au long du processus de création, audace et sincérité ont été les maîtres mots ». Maher Beauroy
27 mars 2024

Auster Loo Collective présente « Auster Loo Collective »

Auster Loo Collective révèleront leur nouvel album (sous la direction de Simon Leleux) à l'occasion de sa sortie le 26 avril 2024 chez Igloo Records / Socadisc. Cet opus sera présenté le mercredi 22 mai 2024 sur la scène du Studio de L'Ermitage lors d'un concert de lancement exceptionnel. Auster Loo Collective insuffle un vent nouveau sur la scène des musiques acoustiques et improvisées en Belgique. Au sein du collectif, les musiciens se donnent le défi de mettre leurs parcours au service d'un langage musical nouveau. Sous la direction artistique de Simon Leleux, ils partent à la recherche d’horizons inexplorés. Explorateur versatile, ce percussionniste belge développe depuis plusieurs années des propositions musicales singulières qui tentent de trouver le lien juste entre le calque sensible d’un cheminement personnel et celui de langages musicaux d’une diversité surprenante. Auster Loo Collective est composé de : - Simon Leleux : percussions et composition - Lydie Thonnard : flûtes et chant - Shahab Azinmehr : setar et chant - Bao Sissoko : kora et chant - Aki Sato : koto, shamisen et chant - Vincent Noiret : contrebasse - Célestin Massot : piano - Osvaldo Hernandez : percussions et chant L'album : Fruit d'une alchimie unique entre l'exploration et la création de ponts sonores, il en résulte un univers singulier. Chaque musicien apporte sa touche unique, créant un son original qui mêle la subtilité caractéristique du koto aux mélodies enjouées de la kora d'Afrique de l'Ouest, le piano et la contrebasse, la flûte et le setar iranien, les percussions et les voix. L'album est un récit en huit chapitres qui témoigne de la rencontre de huit musiciens venant de différents coins du monde et profondément ancrés dans une culture musicale. Se nourrissant de ces racines profondes, ils ont fait émergé de leurs échanges des compositions nouvelles et uniques, guidés par un esprit libre qui embrasse la singularité de chacun. Des mélodies poignantes et oniriques alternent avec des compositions rythmées et pleines d'énergie sur cet album qui sortira en avril 2024 chez Igloo Records. Auster Loo est à l'origine un duo composé de Simon Leleux, spécialiste des percussions à doigts (doholla, bendir) et de la flûtiste Lydie Thonnard (flûtes, voix). Leur passion commune pour le rythme et l'improvisation s'est nourrie de leurs rencontres avec des musiciens de tous horizons. Auster Loo Collective s’inscrit dans la continuité de ces rencontres. Avec la sortie de cet album, Auster Loo ouvre un nouveau chapitre de son existence.
27 mars 2024

Kyab Yul-Sa présente « Murmures d’Himalaya »

Le trio Kyab Yul-Sa, lauréat du Prix des Musiques d’Ici 2021, révèlera "Murmures d'Himalaya" son nouvel album à l'occasion de sa sortie le 26 avril 2024 chez Nangma Prod / Inouïe Distribution. Cet opus sera présenté le jeudi 23 mai 2024 sur la scène du Studio de L'Ermitage lors d'un concert de lancement exceptionnel. Son premier single « Gangkar » sera disponible le 15 mars 2024 sur toutes les plateformes. Initié par l’artiste tibétain Lobsang Chonzor, cœur battant de cet ensemble singulier, Kyab Yul-Sa puise son identité dans la musique tibétaine traditionnelle. A la fois chanteur et musicien, Lobsang Chonzor parcourt depuis plus de vingt années les répertoires traditionnels tibétains laïcs et religieux, qu’il donne à entendre au public lors de concerts solo mettant en lumière une maîtrise parfaite d’exécution et une étonnante modernité artistique. Kyab Yul-Sa est un trio musical né en 2015 et composé de : - Lobsang Chonzor : voix, luth tibétain dranyen, tympanon gyumang - Margaux Liénard : violon, hardanger d’amore, bouzouki - Julien Layahe : zarb, tombak, et autres percussions L'album : Murmures d'Himalaya est avant tout une échappée, un périple dans des contrées lointaines : des paysages tantôt mystérieux, tantôt captivants ou contemplatifs, évoqués par les mélodies et les rythmes venus d’ailleurs, mais également par des vidéos et de la matière visuelle, en soutien au propos musical. Murmures d'Himalaya est l’occasion de découvrir la culture tibétaine avec Lobsang Chonzor, et d’ouvrir une porte vers d’autres horizons portés par Margaux Liénard et Julien Lahaye. Les héritages musicaux et visuels des 3 artistes reflètent un univers envoûtant que l’universalité de la musique et la contemporanéité des compositions transcendent. Le trio : Dans Kyab Yul-Sa, Lobsang Chonzor s’associe à 2 exilés musicaux qui se sont approprié des musiques « d’ailleurs » (Scandinavie, Europe du Nord, Iran). Ensemble, ils transcendent les fondements de la musique tibétaine traditionnelle en lui apportant des arrangements nouveaux, inspirés de langages musicaux qui se répondent et s’enrichissent. Sur leur terre commune qu'est la musique, les musiciens offrent à la tradition tibétaine un renouveau musical au timbre métissé et unique.
27 mars 2024

Erwan Menguy Quartet présente « SPI »

Erwan Menguy Quartet révèlera « SPI », son nouvel album à l'occasion de sa sortie le 29 mars 2024 chez Klam Records / L'Autre Distribution. Le single « A 10 » sera disponible le 8 mars 2024 sur toutes les plateformes. Erwan Menguy, flûtiste reconnu à l'international, lance sa première création éponyme. En leader du quartet, il choisit de s'entourer d'instruments à cordes pour un travail très acoustique, à l'image des formations de bluegrass ou des ensembles de musique de chambre, sur un répertoire issu de ses compositions. Pour cette nouvelle création scénique et phonographique, il s'associe à trois talentueux musiciens avec lesquels il travaille depuis de nombreuses années - Erwan Bérenguer à la guitare, Kevin Le Pennec au cistre et Hugues Lassere à la contrebasse - avec l'envie de les réunir au sein d'une formule plus étoffée, offrant de nouvelles possibilités d'accompagnement, et permettant d'aborder différemment le travail d'écriture et d'arrangement.   « Le propos artistique se veut très acoustique, se rapprochant d'une musique folk américaine, où la flûte en bois se positionne en leader, telle une voix, entourée d’un trio de cordes harmoniques et rythmiques. Le choix des instruments est délibéré, favorisant la démarche acoustique, et s'inspirant - d'une certaine façon - de l'équilibre naturel des timbres au sein des quatuors à cordes ou ensembles de musique de chambre. Cette volonté artistique fait suite à un travail passionnant sur la notion de ''projection sonore'', sur la faculté à ''placer'' les sons au sein d'un ensemble, et l'adaptation requise en fonction de l'écriture d'une pièce. Une partie du répertoire s'affranchit des carrures musicales habituelles occidentales, par le jeu de superpositions au sein de rythmes asymétriques, mais aussi par le rapport qu'entretient le thème ''lead'' à cet accompagnement. Ici, chaque musicien s'inscrit dans une relation très ''organique'' et énergique à la musique et à son instrument, incontestablement liée à l'importance majeure de la danse dans leurs parcours respectifs. Dans cette idée, l'objectif est de permettre au spectateur d’entendre les moindres détails du jeux des musiciens et de la sonorité intrinsèque des instruments, rendant audible les craquements, les frottements, et tout ce qui rend la musique plus vivante, dans un travail d’arrangement imaginé dès la phase de composition, et où les parties instrumentales s’équilibrent acoustiquement et naturellement, là où les arrangements se veulent parfois très rythmiques et où chaque instrument exécute une séquence minimaliste et obstinée d’un même puzzle. » Erwan Menguy
11 mars 2024

Amina Mezaache & Maracuja présentent « Vortex »

Amina Mezaache & Maracuja révèleront "Vortex" leur troisième album à l'occasion de sa sortie le 26 avril 2024 chez Veston Léger / Inouïe Distribution. Cet opus sera présenté le jeudi 16 mai 2024 sur la scène du Studio de L'Ermitage lors d'un concert de lancement exceptionnel. Leur premier single « 6 Bémols » est disponible depuis le 9 février 2024 sur toutes les plateformes. Amina Mezaache & Maracuja est composé de : - Amina Mezaache : flûtes et compositions - Yoan Fernandez : guitares - Fabien Debellefontaine : sousaphone et flûte - Jonathan Edo : percussions Les artistes invités sur l'album sont : - Simon Deslandes : trompette et bugle (titres 1 et 7) - Florent Sepchat : accordéon (titres 1 et 9) - Edgar Sekloka : rap (titre 6) Vortex : tourbillon de création et d'interactions Vortex se veut le reflet de notre époque, pleine de turbulences et d’éléments en fusion, d’énergies qui circulent, s’entrechoquent et se contaminent. Après plus de 10 ans d’expérimentations et d'aventures, ce 3e album apporte un vent nouveau dans l'histoire de Maracuja. Grande voyageuse et passionnée de rencontres musicales, Amina Mezaache, que l’on a récemment entendue aux côtés de Julien Coriatt, Sonny Troupé, ou encore Chano Domingues, Hamilton de Holanda et Itiberê Zwarg Orquestra Familia, nous livre un carnet de voyage singulier, nourri d'hybridations entre ses racines africaines, son amour pour les rythmiques brésiliennes et son attachement au jazz toujours en mouvement. Vortex est traversé par un foisonnement d'ambiances et de couleurs, qui évoquent tour à tour la danse, le nomadisme, les voyages intérieurs, les paysages psychédéliques, les atmosphères brumeuses et impressionnistes.. Dans ce 3e album, Maracuja étoffe sa palette sonore en lui ajoutant le son profond de la flûte peule, les timbres de la trompette et du bugle de Simon Deslandes et l'accordéon de Florent Sepchat, qui s'entrelacent joyeusement dès le début de l'album. Très attachée aux mots et à leurs résonances, Amina a choisi d'inviter le rappeur et poète Edgar Sekloka, qui livre un texte puissant et évocateur sur le titre Sirocco. Enfin, le disque s'achève sur un hommage délirant au génie brésilien Hermeto Pascoal, créateur insatiable et grand inspirateur du groupe.  
19 février 2024

Los Guayabo Brothers présentent « PsychoTropical »

Los Guayabo Brothers révèleront  "PsychoTropical" leur nouvel album à l'occasion de sa sortie le 5 avril 2024 chez Los Guayabo Brothers / Inouïe Distribution. Cet opus sera présenté  le vendredi 2 mai 2024 sur la scène du Studio de L'Ermitage lors d'un concert de lancement exceptionnel.   ➡️ Leur premier single « Fango » sortira le 16 février 2024 sur toutes les plateformes.  ⬅️ Les compositions originales de Los Guayabo Brothers s’inspirent du folklore colombien, percussions et flûtes organiques à la Totó La Monposina rencontrant guitares, synthés et cuivres psychédéliques à la Pink Floyd ou Ondatrópica. Le groupe Los Guayabo Brothers est composé de : - Juan Pablo Álvarez : guitare électrique, choeurs, percussions - Arnulfo Carazo : voix lead, guitare acoustique, synthétiseurs - Iván Hernández : alegre, congas, choeurs - Álvaro Olmos : basse, choeurs - Rodrigo Peña : tambora, bombo leguero, batterie - Camille Floriot : trompette, gaita hembra, choeurs - Gabriel Ray : trombone, gaita - Olga Pavía : clarinettes (feat. "El Francer") - Los Gaiteros de San Jacinto (feat. "El Mohán") L'album :  "PsychoTropical" est un véritable voyage musical qui mélange habilement les sonorités traditionnelles latino-américaines avec des touches modernes et psychédéliques. Les morceaux sont à la fois entrainants et contemplatifs, tout en offrant une richesse harmonique et rythmique qui vous fera voyager vers des horizons musicaux inexplorés. Voici un vaste éventail des sujets abordés : tout d’abord la fête simple et déjantée (La Conjuntivitis) ; les répressions tristement habituelles depuis 2020 lors des manifestations festives (Folkloriptica) ; des sujets sociaux comme l’esclavage moderne (La Cumbia Libertaria) ou encore le conflit armé colombien (Fango). Los Guayabo Brothers abordent de façon plus introspective leur identité colombienne (Origins) et évoquent aussi leur culture française d’adoption (El Francer). Les concerts : 20/04 Le Taquin - Toulouse (31) 02/05 Lancement PsychoTropical - Studio de l’Ermitage -Paris (75) 01/06 Festival Papillonez - Gaillac (81) 28/06 Festival Sons Au Fil de L’Eau - La-Chapelle-Saint-Mesmin (45) 29/06 Pollux Asso - Saint-Benoit-de-Carmaux (81) 09/07 Cri’Art - Auch (32) 12/07 Festival Tropical Pressure - Porthowan (UK) 30/07 Mardis de l’Été - Carcans-plage (33)
16 février 2024

Claudia Meyer présente « La Negra »

Claudia Meyer révèlera "La Negra - Tribute to Mercedes Sosa, The voice of Latin America" son nouvel album à l'occasion de sa sortie le 22 mars 2024 chez Kobbi Prod / InOuïe Distribution. Cet opus sera présenté le jeudi 25 avril 2024 sur la scène du Café de la Danse lors d'un concert de lancement exceptionnel. Le premier single "La Maza" est disponible depuis le 26 janvier 2024 sur toutes les plateformes. Cet album est tiré du spectacle musical. Le caractère original et innovant de l’angle choisi par Claudia Meyer est de faire revivre l’artiste et de redécouvrir l’oeuvre et l’itinéraire d’une femme internationalement connue pour sa voix, son engagement, ses succès et les différentes étapes de sa vie d’artiste et de femme. Elle est “la voix du peuple silencieux”. Ce disque comprend deux duos : un exceptionnel avec Mercedes Sosa, et un avec Maurane, auquel l'album est dédié. Un mot sur Mercedes Sosa : « Mercedes Sosa est la voix qui m’a influencée, elle m’a emportée dans son histoire et j’ai plongé dans sa musique. Bien que n’étant pas sud-américaine et que l’espagnol ne soit pas ma langue maternelle, j’ai été saisie et happée par cette culture, sa musicalité et bouleversée par la puissance de sa voix riche en émotions. J’ai été sensible à son histoire, à sa vie de femme, à son engagement auprès des plus démunis et à l’immense interprète qu’elle fut. Elle a toujours fait partie de mon itinéraire musical, je la chante depuis mon adolescence et lui ai rendu hommage sur mes deux albums précédents, Azul et Fuego. Je suis très émue et heureuse de faire revivre sa musique sur scène, et sur l’album “La Negra”. » Claudia Meyer L'album : Cet album et le spectacle proposent un mélange de tradition et de modernité, revisités par Claudia Meyer, accompagnée de Marc Benabou “Marquito” aux percussions. Tout en restant fidèle aux versions originales, ce duo apporte une touche personnelle et colorée en insérant des instruments ethniques tels que le charango, le cuatro et particulièrement le bombo (tambour andin) qui était l’instrument traditionnel que jouait Mercedes Sosa sur scène. L’album est à l’identique du spectacle, le parti pris de proximité et d’intimité d’un duo comme l’était le plus souvent Mercedes Sosa avec son guitariste Nicolas Brizuela.
31 janvier 2024

Johanni Curtet présente « If Only I Could Hibernate »

Johanni Curtet révèlera « If Only I Could Hibernate », son nouvel album à l'occasion de sa sortie le 05 janvier 2024  chez Buda Musique / Socadisc et Amygdala Films & Urban Factory. « If Only I Could Hibernate » (Si seulement je pouvais hiberner) est la bande originale du film de Zoljargal Purevdash (sortie française 10/01/24) qui a fait partie de la Sélection officielle du Festival de Cannes (Un Certain Regard 2023). Avec : Johanni Curtet : composition, beatbox, khöömii, chant de gorge, guitare, luth doshpuluur, guimbardes, carillon  Mandakhjargal Daansuren : vièle morin khuur, khöömii, chant de gorge Kham Meslien : contrebasse  Enregistré et mixé par Bob Coke. Johanni Curtet est musicien, ethnomusicologue, producteur et directeur artistique de Routes Nomades. Depuis 20 ans, il pratique et étudie le khöömii, chant diphonique mongol, en l’expérimentant à travers diverses créations. Plusieurs disques de sa réalisation sont parus chez Buda musique avec Tserendavaa & Tsogtgerel (2008) ; Une Anthologie du khöömii mongol (2017) ; Khusugtun (2020) ; Batsükh Dorj (2023) ; ainsi que ceux de son trio Meïkhâneh. Avec cette B.O., Johanni signe une double première, une musique de film et un disque en son nom. Ce film est un cri du cœur pour la Mongolie perçu à travers la rude vie quotidienne d’une famille d’Oulan-Bator : les quartiers de yourtes délaissés, le combat quotidien pour survivre l’hiver, la pollution de la capitale la plus froide du monde,  la question de l’égalité des chances, mais aussi les enjeux sociaux tels que l’exode rural et le décalage entre la présence nomade et l’urbanisme. Au-delà des problèmes, Ulzii, le personnage principal incarne un grand espoir qui pénètre toute l’histoire. La voix diphonique est le relai de cette voie d’espoir semée des doutes que suit Ulzii, mais rappelle sa région d’origine, l’Altaï. À l’image de sa vie, l’instrumentarium est simple : guitare, luth doshpuluur, vièle morin khuur, contrebasse, guimbardes et beatbox ; tout comme leurs modes de jeu. Cette musique est à la fois minimale, gaie, douce ou énervée, répétitive jusqu’à l’entêtement, comme les états d’âme qui traversent les questionnements de cet adolescent qui cherche à s’en sortir. Elle se réfère à l’identité mongole pour devenir universelle. Les modes pentatoniques se frottent aux dissonances ou au blues en allant parfois chercher des rythmiques d’autres cultures nomades. Mais la présence harmonique, discrète, est partout.
15 janvier 2024

Giuliano Gabriele présente  « Basta! »

Giuliano Gabriele révèlera  "Basta! » son nouvel album à l'occasion de sa sortie le 23 février 2024 chez Coming MusicArt / Inouïe Distribution. Cet opus sera présenté  le jeudi 21 mars 2024 sur la scène du Studio de L'Ermitage lors d'un concert de lancement exceptionnel. Rythmes cathartiques du Sud de l'Italie, dans un album dissident au titre emblématique. Basta! raconte les individus en mouvement, idéalement ou inconsciemment libres, emprisonnés dans les “systèmes contemporains”, là où vivent toutes les frustrations et les peurs. Les cadences traditionnelles s'enlacent avec des métissages actuel entre Méditerranée et musiques du monde. L'album est produit par l'éclectique Martin Meissonnier (Fela Kuti, Khaled, Alan Stivell, Robert Plant and Jimmy Page, Manu Dibango, Papa Wemba, Tony Allen…) Sur cet album Giuliano Gabriele (voix - accordéon diatonique) est accompagné de : Lucia Cremonesi : Alto - Lyre calabraise Eduardo Vessella : Tambourin Gianfranco De Lisi : Basse électrique Riccardo Bianchi : Batterie Carmine Scialla : Bouzouki - Guitare Battente Giovanni Aquino : Guitare Électrique - Synth Gianmarco Gabriele : Programmation Martin Meissonnier : Programmation Giuliano Gabriele Auteur-compositeur, chanteur et accordéoniste italo-français. Giuliano Gabriele est considéré comme l’un des artistes en vogue de la scène World Music italienne. À son actif d'importantes expériences live : le Moods de Zurich, le Rudolstad festival en Allemagne, le Festival du Chant de Marin à Paimpol (Bretagne), l'European Jazz Expo de Cagliari, le Ravenna Festival et bien d’autres. Parmi ses rencontres musicales on trouve : Hevia, Carlos Núñez, Bombino, Martin Meissonnier, Francesco de Gregori, Nada, Enzo Avitabile, Eugenio Bennato, Peppe Voltarelli, Riccardo Tesi, Marc Perrone...Il remporte plusieurs prix, dont le Festival Andrea Parodi 2015 (le plus important prix world music en Italie). Il travaille comme acteur-musicien aux côtés du légendaire Lindsay Kemp. Son précédent album, sorti en 2015, a reçu des critiques excellentes, notamment : quatre étoiles "Songlines" (UK), top 20 "World Music Central" (Usa) et World Music Charts Europe. Depuis des années il s'implique également dans la direction artistique et la programmation des festivals dédiés aux musiques du monde.
14 décembre 2023

La Sève présente « Chlorophylle »

La Sève révèlera "Chlorophylle" son nouvel album à l'occasion de sa sortie le 12 janvier 2024 chez King Tao / InOuïe Distribution. Cet opus sera présenté le vendredi 1er mars 2024 sur la scène du Studio de L'Ermitage lors d'un concert de lancement exceptionnel. La Sève puise ses influences dans les musiques d’Afrique de l’ouest, particulièrement dans la musique Bikutsi camerounaise et la Rumba congolaise. Chlorophylle, le nouveau projet musicale de La Sève explore la musique ternaire et particulièrement le Bikutsi, qui est chanté à l’origine par les femmes, comme une musique guérisseuse. Musique ternaire, en 6/8, rapide et très cadencée, elle est destinée à faire chalouper les hanches et taper les pieds par terre. La Sève est composé de : Guillaume Cornuel : guitare et voix Gregory Brustier : guitare et voix Samuel Paris : guitare et voix Frédéric Jebejian : batterie, percussions et voix Comme le fluide vital qui parcourt les plantes, La Sève, est un fluide vital qui parcourt les hanches dans le sens de la danse. Le leitmotiv du groupe depuis sa création est de faire une musique dansante, vibrante, parlant au corps, se rapprochant des musiques de bal mais sans pour autant utiliser les mêmes codes. Le groupe cherche à communiquer une énergie primaire et essentielle. Grâce à sa nouvelle formation instrumentale, trois guitares, une batterie et trois voix, La Sève propose un son direct et particulier. Il transcende la matière sonore et le répertoire traditionnel est revisité. Les musiciens de La Sève axent leur travail musical sur les différentes combinaisons possibles entre les trois guitares, utilisant le contrepoint et différents chants qui se croisent en accords et mélodies. Les musiciens de La Sève jouent le Bikutsi avec ce qu’ils sont aujourd’hui. Leur rumba et leur bikutsi prennent des allures de math rock. Ils multiplient les citations musicales rapprochant les musiques ternaires comme la valse, le reggae, le jazz, autant dans le son que dans les arrangements des thèmes. Une musique complexe et demandant une certaine dextérité. Les voix chantent et scandent l’énergie de la musique jouée, elles servent et entretiennent la danse.
14 décembre 2023

Dieuf-Dieul de Thiès présente « Dieuf-Dieul de Thiès »

Le groupe Dieuf-Dieul de Thiès révèlera "Dieuf-Dieul de Thiès", son nouvel album éponyme à l'occasion de sa sortie le 19 janvier 2024 chez Buda Musique / Socadisc. Dieuf-Dieul de Thiès Après un énorme succès au Sénégal et en Gambie, Dieuf-Dieul de Thiès se sépare soudainement après 4 ans d’existence en 1983. Reformé en 2015, le groupe réalise ses 2 premières tournées européennes en 2017. Aujourd’hui l’histoire continue avec la sortie d’un premier album studio consenti chez BUDA MUSIQUE, suivi d’une reprise de tournée européenne en 2025. Le groupe a donc attendu 40 ans pour enfin avoir son œuvre gravée pour la postérité. C’est très certainement l’un des derniers groupes encore en activité de la fin des années 70 issu de cette grande époque des orchestres amplifiés africains. Sur disque et sur scène les morceaux s’expandent, les sons des guitares fuzz se mêlent aux cuivres et aux percussions et ainsi produisent un mélange explosivement psychédélique. Line-up : • BASS SARR - Co-fondateur, Voix, Maracas • ALASSANE CISSE - Guitare Basse • MATAR DIENG - Timbales, Cow Bell, Percussion • WILFRID ZINSOU - Trombone, Saxophone Alto & Tenor • PAPE M' BAYE - Conga, Sabar, Tamani, Percussion • RAYMOND MENDY - Guitare • MAGAYE GUEYE - Guitare Préface de l'album : « La patience ne connaît pas le temps », prétend un proverbe sénégalais. On ne saurait mieux prédire pour décrire le destin du Dieuf Dieul de Thiès, qui publie enfin son premier véritable disque plus de quarante ans après les faits. Tout a commencé en 1979 quand des membres d’Ouza et ses ouzettes, fameux band venu jouer au Gandiol de Thiès, la grande cité située à une bonne heure de la capitale, ont décidé de quitter ce groupe basé à Rufisque. Ils ne vont pas tarder à croiser la route d’une petite bande de jeunes, dont certains encore à l’école, tous aussi passionnés de musique. Parmi eux, Bass Sarr se souvient : « Nous répétions quotidiennement, ils venaient nous renforcer, et nous avons de même travaillé sur leur répertoire. C’est comme ça qu’on a décidé d’unir nos forces. Ça leur a permis de rester à Thiès. » Et à tous de commencer l’aventure de ce groupe. Il ne leur reste plus qu’à se choisir un nom : après trente minutes devant le thé, les instruments posés, ils tomberont d’accord sur Dieuf Dieul, une formule qui renvoie au mouridisme prêché au début du vingtième siècle par Cheikh Ibrahim Fall et que l’on pourrait traduire par « Donner - Recevoir ». Autrement dit : « On ne récolte que ce qu’on a semé ». Jacques Denis
14 décembre 2023